♂ MILES HENRI CARTER

Feat Jamie Dornan

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Copyright avatar madame-e Journal de bord de Miles Carter ― 10 février 2011 Je viens de débarquer à Buenos Aires. Je suis présentement assis sur un banc, au milieu de la ville. Je me repose. Ça fait déjà un bon moment que j'erre, que je vagabonde à travers les rues commerçantes. J'observe la population locale, je m'imprègne de leurs gestes, de leurs paroles. Ils me regardent assez brièvement, je ne dois être qu'un étranger parmis tant d'autres. J'espère simplement qu'ils m'accepteront mieux dans quelques temps. Non, je n'ai pas l'intention de renoncer. J'ignore si mon portable est encore utilisable ici, mais je sens que je dois faire bien des remous par mon absence à Manhattan. La grande question : combien de temps vais-je tenir? Je sais que je ne suis pas un gars de campagne, je suis un gars de la ville, mais, il existe différents types de villes, non? Buenos Aires me plaît bien, j'ai vu quand même quelques étrangers, des américains surement, et je me sens déjà moins seul. C'est fou! à peine deux heures que je suis arrivé et je pense que j'ai le mal du pays. Je ne suis pas quelqu'un d'habitué à côtoyer des personnes plus pauvres que moi. Mais je me rends compte aujourd'hui que, de tous les habitants qui sont ici, je suis probablement le plus pauvre d'entre eux. Oui, j'ai dix milles dollars américain, enfin, quarante milles peso argentins, mais en termes de culture et de savoir, je suis le plus pauvre des hommes parmis les Argentins de Buenos Aires, car je ne connais que ce que je voulais bien apprendre, pas ce que je dois savoir.

♫ Oh, miroir, mon beau miroir... Copyright icons white rabbit Miles est quelqu'un de très simple, fondamentalement. Il aime les choses simples de la vie : manger, dormir, et avoir du plaisir. Il est de nature enjouée et amical, très peu réservé,m il est plutôt entreprenant et il lui arrive parfois de prendre un peu trop de place, mais n'étant pas homme de colère, il ne s'en formalise point lorsqu'on le lui fait remarquer, tout au contraire. Miles est aussi un homme sociable et attirant, qui est assez intelligent, mais pas du tout manipulateur. Il aime apprendre de nouvelles choses et il est très humble, pour un gars de Manhattan qui a toujours eu tout cuit dans le bec. Il n'y a pas grand chose à dire sur cet Américain pure souche, s'il n'est qu'aussi courageux soit-il, jamais il n'a vu la vie à l'état pur, la vie humaine, lui qui a toujours vécut caché dans sa grande tour, dans son bel appartement luxueux, qui n'a jamais vu ni la classe moyenne ni la pauvreté. Il est effrayé part tout ce qui l'entoure, mais il est beaucoup plus curieux, alors il tient bon, mais jusqu'à quand ces merveilleuses découvertes le tiendront-il en extase plutôt qu'en terreur? Toutefois, un homme a des défauts à la hauteur de ses qualités, et on dit souvent de Miles qu'il est généreux, sociable et fidèle, toutes de très grandes qualités, n'est-ce pas? Son plus gros défaut, c'est probablement son ignorance, et ses jugements pré-fondés sur le reste du monde, basés sur ce qu'il a vu à travers la chaîne d'informations nationale de New York. Sinon, Miles a des tendances jalouses parfois, et il est très possessif, il n'a pas de difficulté à venir en aide financièrement à un ami, ou donner de son temps, mais en enfant unique, il n'a jamais vraiment appris à partager ses choses, ce qui fait de lui le pire colocataire qui soit, car tout doit être étiqueté : à lui, à lui, à l'autre, à lui, à l'autre, à l'autre, etc. et que l'autre en question ne viennent pas fouiller dans ses affaires à lui, car il sait se servir de ses poings, même s'il n'aime pas en faire l'usage souvent, car il prône la parole avant la violence.

C'est l'endroit idéal pour draguer... Copyright icons lipslikeamorphine C'est vrai que c'est l'endroit idéal pour draguer : des belles filles un peu partout, aucunes attaches, un passeport pour décamper au moindre risque... Heureusement que Miles n'est pas ici pour cela, n'est-ce pas? Sinon, il est pas mal certain qu'il aurait fait au moins quelques coeurs brisés. En effet, Miles est souvent considéré comme un genre d'Adonis américain, avec son corps ciselé dans un teint légèrement bronzé à l'année et son visage carré mais charmeur. Parfois, il porte la barbe, assez courte, ce qui le rend plus mature et sage, ou bien il rase tout, ce qui lui donne des airs de grand séducteur et de jeune homme de la haute. Miles s'entraîne beaucoup, pour garder une forme exemplaire, et il pratique le taekwondo, un art martial très cardiaque et complexe, ainsi que le basketball. Avec une hauteur d'un mètre quatre-vingt quatre, Miles a toutes les qualités pour jouer au basketball, et il adore cela, ainsi que tous les autres sports, d'ailleurs, c'est bien ainsi qu'il se tient autant en forme! Pourtant, puisqu'il ne se promène pas en caleçons dans les rues mais plutôt en vêtements simples, sans grande prétention mais de bonne qualité, ce qu'on remarque le plus vite chez lui, ce sont ses yeux. D'un bleu clair et éclatant, ils sont rieurs et amicaux, dès le premier regard. Et puis, il a ce petit sourire qu'il offre à qui le prend, qui lui donne un peu l'air d'un gamin. Miles a une voix qui porte, et il peut crier très fort, mais il préfère de loin parler doucement, avec son timbre grave et coulant. Il aime aussi parler avec ses mains, ses grandes mains qui n'ont pas beaucoup travaillées à part que pour être à l'ordinateur puisqu'il était conseiller en informatique à New York. Il gesticule beaucoup quand il parle, mais même ses gestes ne sont ni agressifs ni agressant pour la personne qui l'écoute, mais plutôt un appui bienvenue qui convainc encore plus les gens, après son charme naturel, son magnétisme, ses magnifiques iris et sa voix de caramel.

Je veux l'amour, la joie, la bonne humeur... Miles est né à New York, d'un père joaillier et d'une mère secrétaire juridique. L'histoire de Miles n'est pas très intéressante, mais serait surement un rêve pour beaucoup de gens. Miles a, depuis sa tendre enfance, eu la plus belle vie qui soit : il était bon à l'école, il avait bien des amis, des vrais pour la plupart, et il était respecté des autres et aimé des professeurs. Miles n'a jamaid eu de problèmes d'argent, et ce qu'il demandait pour Noël ou sa fête, il le recevait. Il n'a jamais eu à attendre pour quoi que ce soit : quand il a été prêt à avoir une petite amie, les filles l'ont appris et elles sont tombées à ses pieds. Quand il a voulu faire l'équipe de football américain de son lycée, il a été accepté comme receveur. Quand il a changé pur le basketball en dernière année de lycée, il a été pivot et a aidé son équipe jusqu'au championnat régionaux. Miles est ensuite allé à l'université, où il a fait des études en informatique. En sortant, deuxième de sa promotion, à l'âge de vingt-deux ans, Miles a trouvé un emploi bien payé dans une grosse firme d'informatique. Il s'est acheté un appartement à Manhattan, continuait de voir ses parents régulièrement, et avait encore beaucoup d'amis avec qui profiter de la vie, plus les filles qu'il voulait. Quand il a demandé une augmentation et une nouveau poste plus prestigieux six mois après son entrée, on le lui a accordée. Miles a toujours, toujours, eu ce qu'il désirait, parfois sans même le demander. Pour autant, il restait un homme simple à satisfaire, qui ne faisait que profiter des plaisirs que lui apportait la vie sur un plateau d'argent. Il se disait heureux, car quand il y pensait un peu plus, quiconque serait à sa place serait enchanté. N'est-ce pas? Et pourtant, lui, sans parvenir à mettre le doigt sur le bobo, il sentait que quelque chose n'allait pas dans sa vie. Ce n'était ni l'argent, ni la carrière, ni les amours, ni les amis. Ce n'était pas non plus ni le plaisir ni le divertissement, et encore moins sa famille. Ce qu'il lui manquait, c'était une vie. Oui, une vie. Là, il ressemblait à tout le monde, il n'était personne de particulier. Il nme voulait pas changer le monde non plus, il voulait juste vivre des expériences, avoir mal, de plus tout avoir tout cuit dans le bec. Il était agacé par la simplicité et la facilité de sa vie. Lui voulait de l'action, voulait changer de décor, se déboussoler, se laisser tomber dans l'abîme de la vie humaine, la vraie, pas la vie de Manhattan. Alors, après avoir réalisé cela, Miles ne put plus profiter de la vie comme il le faisait avant. Il décida donc, à quelques jours de son vingt-troisième anniversaire, de partir. Il avait ressorti son vieux globe terrestre, l'avait fait tourné et l'Avait arrêté avec son doigt. Argentine. Voila, il partait pour l'Argentine, en ne connaissant rien de la langue de ce pays, rien de sa culture, de son histoire. Il fit son sac à dos, car il ne voulait pas emmener rien d'Autres que le nécessaire, donc son passeport, une photo de ses parents et de lui quand il était petit, et un carnet de voyageur. Parce qu'il n'était pas stupide, seulement écoeuré de sa vie, Miles mit quand même quelques vêtements et des sous-vêtements pour pouvoir survivre au moins quelques semaines, et il liquida son compte en banque, qu'il fit changer en monnaie courante d'Argentine, puis se prit une place en classe économique et s'envola, sans un mot d'au revoir et sans dire à personne où il allait, vers son nouveau pays. *** Miles débarqua de l'avion et ressentit tout de suite la chaleur oppressante de Buenos Aires. Il déboutonna le haut de sa chemise et se félicita d'avoir enfilé des baggies qui se terminaient à mi-mollet, et d'avoir emporté ses sandales. Il mit ses lunettes de soleil, seul réel vestige de sa vie de Manhattan, car c'étaient des Dolce & Gabana qui lui avaient coûté plus de cinq cents dollars, puis marcha vers l'aéroport, son sac à dos négligemment lancé sur une de ses épaules. Inconsciemment, Miles s'attendait à voir son nom inscrit sur les rares cartons que tenaient les chauffeurs, puis il se souvint qu'il était venu en classe économique, donc il n'avait plus les moyens de se payer un chauffeur privé. Il décida de prendre le bus de l'aéroport, qui allait le mener directement au centre-ville. Comme il n'avait pas de bagages à prendre, il alla attendre le prochain bus en fumant une cigarette dehors. Il se dit, pour la énième fois, qu'il devrait bien arrêter de fumer, mais alluma quand même son bâton de nicotine et aspira une longue bouffée de fumée. Le bus le déposa directement devant l'hôtel de ville. Miles se dit que c'était un signe, et il décida d'y entrer pour avoir plus de renseignements. Après avoir bataillé avec son dictionnaire anglais-espagnol, il réussit à faire comprendre à la réceptionniste qu'il souhaitait avoir des indications pour des emplois à combler et s'il y avait des logements à prix modiques à louer dans le coin. La réceptionniste lui parla dans un espagnol natif qui était beaucoup trop rapide et complexe pour les cours d'espagnol du lycée qu'il avait eu, il y a tant d'années de cela. La femme lui donna tout de même des papiers, et Miles put voir que c'étaient des informations sur des logements disponibles et des emplois offerts. Il la remercia avec beaucoup d'enthousiasme et sortit dehors. En voyant l'achalandage de la rue principale, Miles se dit qu'il pouvait bien s'imprégner un peu de la ville avant de commencer ses recherches de logements et de travail. Ainsi commença son aventure à Buenos Aires, Argentine. Il s'éloigna de l'hôtel de ville à pied, observant avec passion les habitants qui passaient, leur manière de parler,d e se tenir, et remarqua qu'il y avait quand même un bon pourcentage d'américains, ce qui réchauffa un peu son petit coeur qui, malgré lui, avait commencé à se sentir perdu et seul dans cette immense capitale de laquelle il ne connaissait rien.

Bienvenue dans la réalité !

Quel est ton nom / pseudo ?
Quel âge as-tu ? 17 ans
Comment as-tu découvert Remember that day ?
Que penses-tu du design ? Toujours aussi stunning
Sur une échelle de un à dix, donne nous ta disponibilité s'il te plaît pour la semaine 4-5/10
Ton personnage est-il issu d'un scénario du forum ? Non ^^
A quel groupe appartiens tu? Je croque la vie
Quel est le code du règlement ?
Peut-on avoir un exemple de tes RPs ?

Spoiler:

Une dernière chose à nous dire ? Je m'excuse de ne pas avoir été active pendant un long moment, j'avais pas mal de taff et perdu l'inspiration, surtout que l'histoire de Pritch stagnait, enfin, bref, je ne vais pas m'étendre plus, je me suis expliquée avec une admin (hihi) et j'ai su qu'il y aurait bienôit un recensement. Comme je ne voulais pas être supprimée mais ne voulais pas non plus revenir avec Pritch, j'ai trouvé un perso qui, je l'espère, me conviendra mieux =) Je suis donc ici avec un tout nouveau perso, mais celui-ci est très particulier. En effet, vous remarquerez que son histoire le laisse donc dans un pays tout nouveau et tout étranger pour lui et donc, il arrive blanc comme un drap, sans relations, sans histoire à Buenos Aires. C'est ainsi que je l'ai fait pour pouvoir créer des liens, non pas pré-conçus et qui ne se font jamais en rp, mais pour les développer en rp même. Donc, je n'accepterai aucuns liens pré-conçus avant au moins un rp complété (a) je veux être active, pas juste inventer une nouvelle vie à Miles