«le passé est passé, le futur n'est pas encore là.»
.lolipops
Vanille a des petites manies, du genre à trainer toute la journée avec ses écouteurs dans les oreilles, pas fort, simplement pour avoir une musique de fond. Elle passe sa main souvent dans ses cheveux. Elle a perdu l’amour de sa vie dans un accident de voiture en allant à Londres. Santana est son premier prénom, mais lorsqu’on lui demande comment elle s’appelle, elle répond Vanille. Elle aime le groupe santana pourtant, mais elle trouve que ça ne le fait pas de dire « Salut, moi c’est Santana. » -« Oh Santana, comme Carlos Santana ? » C’est un peu moyen de se faire accueillir par quelqu’un par une chanson de Santana. Même si pour certaines occasions ça peut faire bien rock. Et puis de toute façon, elle trouve Vanille plus mignon. Certes, ça lui fait penser à sa mère, française qui voulait absolument qu’elle porte ce deuxième prénom. Mais bon, penser à sa mère pour elle, c’est pas le top du top étant donné qu’elle s’est cassé avec un autre mec a son entrée en cinquième. Elle fume occasionnellement. Bois en soirée. Elle est bordélique. Mais elle s’en fout. C’est une artiste. Elle aime danser, chanter et jouer du djembé. Elle a d’ailleurs abandonné les cours pour se consacrer à sa passion. Enfin, elle étudie en art simplement et comme elle aime ça, pour elle ce n'est pas vraiment des études chiantes comme bon nombre. Elle a un grand frère qui est partie du domicile familial en fuguant. Elle aime le vieux rock, la pop ainsi que les séries américaines. Elle est addict de l’ice tea pêche mais aussi des thés anglais. Normal, puisqu’elle avait droit tous les jours à 16 heures tapantes de boire son thé. Elle est née en Italie, lors du voyage de noces de ses parents. Elle a des origines italiennes d’ailleurs, la grand-mère de son père a passé la majorité de sa vie en Sicile. Vanille fait une fixette sur les corbeaux. Elle a peur de ces oiseaux. Mais malgré tout, ils la fascinent. Elle n’a pas de piercing, ni de tatouage ayant peur des aiguilles. Elle n’aime pas le café. . Elle est en admiration totale face aux peuples amérindien. Elle aime leur histoire, leur culture, leurs croyance, le fait que les esprits se réintègrent en en fleur, en oiseau, ou même en élément comme le feu ou encore l’eau. Elle est fasciné par ce peuple et est complétement fan de leur chants sacrés ! Elle fait beaucoup de recherches pour agrandir son savoir.
♫Oh, miroir, mon beau miroir...
psychozee & dreams
Vanille est assez sociable. Enfin, ce n’est que rarement elle qui fait le premier pas. Elle n’est pas timide. C’est simplement qu’elle n’aime pas commencer à parler, ne sachant jamais quoi dire. Elle a l’air relativement cassante, mais elle ne l’est pas toujours. Elle s’en sert parfois pour repousser certaines personnes. C’est tout. Pendant un bout de temps, elle s’est sentie rejetée par les autres. Mais lorsqu’elle a rencontré son petit groupe d’amis, sa bande, elle se sentait mieux, intégrée à son collège. Vanille est têtue, impatiente, possessive et jalouse. Elle est franche aussi, elle dit tout ce qui lui passe par la tête. Que ce soit important ou pas. Elle peut dire des choses du genre « J’ai faim. » Au beau milieu d’une conversation sérieuse. Elle est marrante, même si son passé n’est pas des plus glorieux, elle garde la tête haute et fait tout ce qui est en son possible pour être heureuse. Elle a du mal à rester sérieuse plus de deux minutes accompagnée des gens qu’elle aime. Et si parfois le moral n’y est pas, elle ne le montrera pas, elle niera et le cachera, ne supportant pas qu’on s’inquiète pour elle. Santana est attachante, elle est généreuse avec ses amis. Elle peut répondre à trois heures du matin si quelqu’un avait besoin de lui parler. Elle serait même prête à héberger un ami qui serait dans la merde. Vanille est toujours disponible. Cependant elle est sensible, elle n’aime pas cette facette de sa personnalité. Elle a peur qu’on profite de sa sensibilité pour lui faire du mal. En réalité toute femme est fragile, mais elle a un taux de fragilité très important, le moindre petit choc et elle craque, certainement pas en public, mais elle craquera oui. La jeune femme est relativement narcissique. Il lui arrive d’admirer son travail ou quelque chose lui appartenant. Elle est douée en danse, elle s’en vantera. Ce n’est pas fait exprès, ni pour faire rager les gens. C’est plus fort qu’elle, elle a simplement la grosse tête. Ce n’est pas de la frime, juste une parcelle de son caractère. Et malgré ce caractère un peu dur à vivre, parce que vous n’allez pas me dire que la jalousie c’est facile à vivre, bon d’accord bon nombre de personnes sont jalouses/possessives, mais lorsqu’on ne l’est pas, c’est extrêmement fatiguant, en plus de ça, Santana est lunatique. Malgré tout ça, elle est tellement adorable qu’on ne peut pas s’en passer. Un peu comme un ours en peluche, étant donné que la demoiselle est très tactile.
C'est l'endroit idéal pour draguer...
starship &red lipstick
Une belle blonde aux yeux sombres. La blonde aux yeux presque noires. Il paraît qu’une blonde aux yeux très sombres voire noirs, c’est rare. Elle avait appris ça en cours de français lorsqu’elle était en seconde, et elle s’est sentie fière l’espace d’un instant. Ses cheveux sont d’un blond éclatant, on pourrait les comparer à un champs de blé. Et si ses cheveux étaient bouclés, boucles d’or aurait pu être son principal surnom. Or ses cheveux sont fins et lisses. Sans volume. Elle ne s’en plains pas. Elle les aime bien comme ils sont. Souvent, elle se fait des petites tresses de côté afin d’éviter de les avoir dans les yeux. Elle ne supporte pas de les avoir dans les yeux. Elle n’arrête pas de se les tripoter, de passer une main dedans sinon. Ses yeux noisettes sont des cages. Elle peut emprisonner n’importe qui à l’intérieur. Selon la luminosité, ils peuvent paraître très sombre, noire ou alors très clair, presque de couleur ambre. Elle est petite, elle a toujours été la plus petite de tous ses amis. Elle est mince, la danse lui permet d’entretenir une fine silhouette. Depuis toute petite elle chante. Au départ c’était pour s’amuser avec les rares amis qu’elle avait. Mais dès qu’elle a rencontré sa bande de meilleurs amis, ils ont commencés à chanter, danser et jouer. Un véritable groupe. Elle se maquille très peu. Elle préfère garder une beauté naturelle. Elle ne mets que du mascara. Et lorsqu’elle sort, ce qui veut dire relativement souvent, au moins une fois par semaine. Elle se fait un œil charbonneux. Le style de Vanille est très simple elle ne se prend pas la tête à choisir pendant une heure ce qu’elle va mettre, elle ouvre son armoire et s’habille de la première chose qui lui tombe dessus. Ce n’est pas une fashion victime, elle aime le shopping, mais a un style simple. La plupart du temps elle enfile un jeans et un pull ou un short et un t-shirt. Ou bien des jupes et des robes. Les habits standard. Néanmoins en soirée, elle est coquette, elle enfile des robes chics. Santana n’a pas besoins de fantaisies de paillettes et de tout le reste pour être belle, elle est belle au naturel. Une femme est toujours plus belle au naturel. Les charmes sont dans l’âme. L’apparence ce n’est qu’une couverture.
Je veux l'amour, la joie, la bonne humeur...
(c) primple
CHER JOURNAL;
Ça fait un peu banal comme commencement. Mais qu'importe. J'ai décidé il y a peu de tenir un journal, oui, c'est toi petit cahier contenant des centaines de bout de papiers. J'ai toujours aimé écrire. Je suis une artiste, je le sais. j'ai besoin de m'exprimer, par n'importe quel moyen. La musique et la danse ne suffisant plus, et sachant que j'avais la possibilité d'écrire, je ne voyais pas pourquoi je m'en serais passé. J'ai besoin de me vider la tête, de soulager mon pauvre petit cerveau qui en supporte trop depuis trop longtemps...
ACTE PREMIER ;
Je suis née en Italie. Le vingt neuf décembre 1989. A Venise. Mes parents étant en voyage de noces lorsque ma mère était enceinte à en crever les yeux. Ils avaient décidés de se marier quand elle était enceinte de son deuxième enfant. Moi quoi. Je suis donc née dans cette belle ville qu’est Venise. Non seulement je suis née dans ce beau pays qu’est l’Italie, mais je suis née dans le pays ou tout à commencé, enfin je veux dire, c’est de là que l’histoire de notre famille à commencé, ma grand-mère paternelle a passé la majeure partie de sa vie là bas. Si elle n’était pas venue en Angleterre pour épouser mon grand père, ni moi ni mon père n’aurait existé.. J’ai passé les premières heures, les premières semaines de ma vie dans mon pays d’origine. Et j’y suis retournée pendant un bon bout de temps par la suite. On est rentrés à Londres deux semaines après ma naissance. Même si j’étais née en plein milieu de l’hiver, le contraste Venise/ Londres niveau temps c’est assez folklorique. Enfin, je ne dis pas que je l’ai remarqué ayant tout juste deux semaines, mais j’ai pu le constater les autres fois ou j’ai subit cette différence de climat. Mon enfance s’est déroulé sans trop de soucis, j’évoluais comme tout enfant normalement constitué. Je marchais, je parlais, je trottais je gazouillais. Je suis entrée en maternelle, j’ai très vite fait mes preuves en tant que bonne élève. J’étais appliqué soigné, j’ai même était la première de ma classe à savoir écrire et dessiner une maison ou un arbre. J’étais heureuse, j’avais tout pour être heureuse. Une famille soudée proche et qui m’aimait. Un frère à embêter. Ah, et le mieux, c’était qu’ils m’encourageaient tous dans la musique. A l’époque je commençais à chanter, oui, à quatre ans.
ACTE SECOND ;
A mon entrée en sixième, tout allait pour le mieux, mon frère avait deux ans de plus de moi, il pouvait m’expliquer par avance le fonctionnement du collège. Me guider si j’étais perdue. C’était vachement rassurant. J’étais cependant un peu exclue de ma classe, les autres ne venaient pas vers moi, je n’allais pas vers eux. Ils me trouvaient étrange. J’ignore pourquoi. J’étais donc toujours seule dans mon coin, mon frère me tenait compagnie lors des récréations. Il n’aimait pas me voir seule, du genre protecteur comme frère tu ne pouvais pas trouver mieux. Et finalement il y a eu un nouveau dans ma classe, il est venu vers moi. On est rapidement devenus amis. On était sur la même longueur d’ondes. Il avait été mon seul ami de cette année de sixième. Et en cinquième tout commença à basculer, je n’étais pas avec Elliot en cours, et au courant de l’année ma très chère mère quitta le domicile familiale pour aller s’installer avec un autre. Sans aucunes explications pour nous, une lettre pour mon père. Il ne le supporta pas et tomba dans une dépression, les soirs quand mon frère et moi on revenait des cours, il était saoule. Adam ne le supportait plus. Il ne supportait pas que maman nous ai abandonné et il ne supportait pas l’attitude de papa. A cette époque on a du apprendre à être autonome. Je n’allais pas vraiment bien pendant cette période, et je me sentais mieux en en parlant avec Elliot. Il comprenait et il me proposait de venir chez lui en attendant. C’est ce que j’ai fais, avec Adam on a fugué, on est allés habiter chez Elliot, mon meilleur ami. On s’y sentais bien et en sécurité. Et j’arrivais à m’évader grâce à la danse et à la musique, le son de mon djembé et de ma voix m’apaisaient. Malheureusement quand papa a repris la raison, il nous a collé la punition du siècle pour cause de fugue. On devait rester à la maison, pas de sortis les week ends, pas de télé et on devait faire les corvées ménagères. Je peux vous garantir qu’Adam et moi, on s’éclatait. Papa ne s’occupait plus vraiment de nous. C’était plutôt nous qui devions nous occuper de lui. On a tout fait pour le faire réagir, on lui a présenté des femmes, on l’a inscrit sur des sites de rencontres, rien à faire. Il ne pouvait pas oublier ma mère. Et je peux vous dire que les voyages à Venise c’était fini maintenant…
ACTE TROISIÈME ;
Arrivée en troisième, je me suis retrouvée avec Elliot en classe. J’étais heureuse. C’était fou n’empêche, je n’avais toujours pas d’autres amis, à croire que je m’enfermais dans ma bulle. On avait plus du tout de nouvelles de maman dans notre famille, mais papa allait mieux. Il ne buvait plus, il retravaillait et reprenait une vie normale, d’ailleurs une de ses secrétaires flashait sur lui, je lui avait dit et il rougissait. Dans la famille nous allions un peu mieux. L’orage était passé on va dire. Fin troisième, avec Elliot on a commencés à sortir faire la fête les samedis soirs. Ça nous changeait les idées. On savait d’avance qu’on aurait notre brevet haut les mains alors on se lâchait. Pendant les vacances de cette année scolaire, j’ai surpris papa au téléphone, il semblait heureux. Je voyais même des petits messages et des rencards. J’avais raison la secrétaire était raide dingue de lui. Il s’absentait même les soirs et certains matins, ce qui nous laissait la maison pour nous tout seul avec Adam. On organisait des grosses soirées, il invitait ces amis pour fêter l’obtention de son bac français (anglais pour en Angleterre ? I don’t know, on dira que c’est ça (a) ). Et moi je ramenais Elliot, on avait tous quelque chose à fêter. Cette soirée à terminer tard dans la nuit, les invités on dormit à la maison, c’était le bordel, pire que dans une foire. Forcément le lendemain matin quand papa a ramené sa petite secrétaire, on s’est fait lapider. Plus de sortis les soirs après vingt trois heures les vacances et c’était avec son autorisation, sinon rien. C’était, super.
Mon entrée en seconde c’était aussi bien déroulé que mon entrée en sixième, j’avais toujours Adam et Elliot près de moi, même s’il n’était pas dans ma classe, je savais que je pouvais compter sur lui, enfin eux. J’ai tout de même réussis à me faire une amie Hanna. Elle était un peu comme moi, passionné de musique. Très vite on a répété ensemble, ça rendait bien, elle a la guitare, moi au djembé et au chant. C’était beau. La seconde était mon année préférée, trois mois de vacances. Oui, juste pour ça. J’avais choisis de passer en première L. Il fallait que j’utilise mon intérêt pour les arts et les langues pour pouvoir réussir plus tard, et surtout m’éclater dans ce que je faisais. Et pendant ces trois longs mois de vacances je me suis rendue compte que j’aimais Elliot, mon meilleur et seul ami depuis la sixième. Et c’était réciproque. La perspective de sortir avec mon meilleur ami me gênait un peu au départ, mais au final, ce n’était pas si déplaisant. Ça faisait déjà plusieurs mois que notre relation était différente, j’ai compris pourquoi depuis le jour ou nous nous sommes embrassés naturellement.
ACTE QUATRIÈME ;
On était beaux ensemble avec Elliot. Tout le monde le disait. Même mon père et mon frère. J’avais le droit d’aller chez lui les soirs en semaine, même de dormir chez lui. C’était la belle vie. On était en première, Elliot avait le permis. Moi j’étais en train de le passer. On sortait de plus en plus souvent en boite de nuit. Avec Hanna, Adam et des amis à lui. Ça devenait une routine. Et c’est avec toute cette petite bande qu’on a commencé à fumer, et à boire, à tenir l’alcool. Enfin, je buvais bien entendu avec modération et je ne fumais que quelques cigarettes par soirs. Ce qui faisait quelques cigarettes par semaine. Papa ne se doutait de rien, de toute manière, il ne s’occupait plus vraiment de nous depuis que maman était partie, il faisait le stricte minimum. Même s’il s’était retrouvé quelqu’un son attitude envers nous n’avez pas évolué, pas changé d’un pouce. Je travaillais toujours très bien au lycée. Je n’avais pas besoin de faire d’efforts puisque j’avais des facilités. J’ai eu mon bac sans trop de soucis une mention assez bien qui me convenait à merveille. J’avais choisit de poursuivre mes études en arts a la rentrée, Elliot lui voulait entrée dans une école d’architecte à Londres, pas très loin de la mienne, ça nous rassurait de savoir qu’on pourrait toujours autant se voir, notre relation avait commencé il y a un an déjà. C’était un véritable compte de fée. Mais les comptes de fées, le « et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants » ce n’était que des foutaises. Il y avait un soir, juste un soir qui a tout foutu en l’air. C’était un samedi soir en rentrant de soirée, Hanna était rentrée seule sachant qu’elle habitait à une rue de là, on l’avait accompagné jusque dans sa rue d’ailleurs puisque les voitures étaient là bas. Adam a ramené sa bande d’amis et Elliot et moi on est rentrés ensemble. C’était en aout 2007. Elliot n’avait pas un taux d’alcool élevé dans le sang pourtant. Mais sur l’autoroute en rentrant chez nous, un point lourd nous a foncés dedans. On est tombé dans l’inconscience tous les deux. On a passé deux semaines à l’hôpital. Au bout de deux semaines, je me suis réveillée, la première chose que j’ai demandé c’était de le voir. Il était encore dans le coma. J’ai passé une semaine à ses côtés jours et nuits. Et me médecin nous a finalement expliqué à moi mon père mon frère et sa famille que ses chances de retour à la vie étaient minimes. En gros il nous disait qu’Elliot ne s’en sortirai jamais. On a attendu une semaine encore, puis deux, puis trois. Toujours rien, les parents d’Elliot on finalement décidé qu’il ne fallait rien tenter pour le ramener à la vie. Les médecins l’ont plongé dans un sommeil encore plus profond que le coma, injection de morphine sous haute dose.
J’ai passé ma dernière semaine de vacances à broyer du noir. Je n’avais pas pleuré à l’hôpital, mais je pleurais chaque soirs, silencieusement et dans le noir, les écouteurs sur les oreilles. Ma vie n’avait pas vraiment de sens sans la personne la plus importante après mon frère. C’était le tournant de ma vie, le tournant qui cristallisait tous mes rêves, tous mes projets. J’avais choisis d’étudier en arts, parce que ça m’intéressait et au départ, je me forçais a suivre. Je n’avais pas la tête à ça, j’avais la tête ailleurs. Dans les nuages. Dans les comptes de fées. La présence d’Elliot me manquait. J’ai perdu mon meilleur ami et mon petit ami un soir d’été dans un accident de voiture. Mais je ne voulais pas me morfondre sur mon sort. Elliot ne l’aurait jamais voulu. Je voulais qu’il puisse être fier de moi.
ACTE CINQUIÈME ;
J’ai repris goût à la vie, aidé de la musique, de la danse, de l’écriture et de mes études en arts. Mais aussi parce que je le faisais pour lui. C’était une principale motivation. Je savais qu’il ne voulait pas que je reste bloqué dans ma vie si jamais on aurait été amenés à nous séparer. Ce qui est arrivé, mais pas d’une belle façon, je l’avoue. J’ai recommencé à sortir. Comme tous les jeunes de mon âge. Une année s’écoula. J’avais réussis à me faire quelques amis dans l’université ou j’étudiais. J’avais dix neuf ans. Cela faisait un an que tout c’était passé. Je me sentais mieux par rapport à la mort d’Elliot. Il faut se relever d’une chute, une chute ça en apprend beaucoup sur la vie. Ça permet de mieux avancer aussi. J’avais appris à surmonter les échecs dès la cinquième.. Malgré tout, je ne suis jamais retombée amoureuse. Je ne suis pas tombé dans la débauche, j’ai tenue bon. Je me suis accrochée à un fil imaginaire, qui me maintenait à la vie. Je suis restée dans le droit chemin et je passais pas mal de temps avec mon frère, il me comprenait parfaitement parce qu’Elliot était devenu un de ces proches amis avec le temps. Il était le seul à me comprendre. Avec les quelques amis que je m’étais fait à l’université, on se faisait des soirées dans le parc en face de l’université, eux étant en bon nombres internes. On se faisait des soirées feu de camp sans la plage et les vacances et ont jouait de la guitare, du djembé, du ukulélé, moi, je chantais. C’était un peu mon second « groupe ». Mais forcément, j’avais toujours la nostalgie du présent. Tout allait pour le mieux du côté de mes études, du côté de ma vie privé, c’était autre chose, j’avais eu une lettre de ma mère, Adam aussi. Elle disait penser à nous et être fière de nous. Elle nous avait expliqué pourquoi elle avait fait ça et elle nous incitait à en faire de même et à penser à notre bonheur. D’accord, elle était heureuse, mais elle avait lamentablement oubliée papa, elle l’avait rendu malheureux et ne savait rien de ce qui m’était arrivé, de tout ce que j’ai pu vivre, les périples de ma vie, tout ce que j’ai du surmonter depuis sept ans. J’ai brûlé la lettre, pour moi elle n’existait pas, je n’ai pas eu de mère, même si j’ai passé toute mon enfance avec elle, elle est partie lorsque j’avais eu le plus besoin d’elle. Pour Adam s’en était trop, il mourait d’envie d’aller voir notre mère, pour lui parler face à face et lui dire tout ce que je n’oserai jamais lui dire. J’ai beau être franche, je ne pourrai pas injurier ma mère. Adam a fugué, quelques mois après. Il est partit de la maison, m’a laissé une lettre sous mon oreiller et à laissé un mot pour papa sur le frigo, un simple « désolé, je pense à toi papa, crois moi que je t’aime. » C’était la secrétaire, enfin, Maryline qui l’avait vu en première. Et moi j’avais eu droit à une lettre beaucoup plus longue ;
« Ma chère Santana Vanille Eosine Caspian, ma sœur ; Si tu savais comme je m’en veux de ne pas t’avoir embarqué avec moi . Cependant, je ne veux pas t’empêcher de te reconstruire, je sais que tu as beaucoup souffert, tu ne l’as pas montré parce que tu es forte, mais tu as le droit d’aller mal, tu sais. Ça fait longtemps que j’ai eu envie de faire ça, mais je m’en empêchais, je voulais encore veiller sur toi. Contrairement à ce que tu penses, je ne suis pas allé chercher notre mère, elle, je l’ai renié comme toi, on l’a fait ensemble, souviens toi. J’ai rencontré quelqu’un. Tu es la seule personne de mon ancien entourage à le savoir désormais, je suis gay. J’ai rencontré un homme. Je ne vais pas te donner d’adresse, juste te citer la ville dans laquelle je me suis installé, Oxford. Si tu viens, on se retrouvera, pourquoi ? Parce qu’on est attiré par les liens du sang, ma Vanille. Ne crois pas que j’ai honte et que je n’assume pas mon homosexualité, au contraire, mais je n’osais pas le dire à papa. Il n’aurait jamais compris, mes amis non plus, je sais anticiper les réactions. Alors que toi, ça ne te fait rien. Tu m’as déjà avoué trouver des filles très belles, pas au point de les désirer, mais tu étais attirée, tu l’ignorais jusqu'à là, mais c’est comme ça que ça commence. Vis ta vie, sois heureuse, fait le pour Elliot et pour moi, là je sais que ça fonctionnera. Je t’aime ma Santana, prend soin de toi surtout, tu vas me manquer. PS ; je sais que tu ne voudras pas venir à Oxford et que cette lettre tu la plieras en quinze pour la cacher dans ton cahier de poèmes. Si tu ne viens pas, je ne t’en voudrais pas. Adam William Luigi Caspian, ton frère gay qui t’aime. »
J’étais surprise de lire ce coming out, je n’aurais pas pensé, mais je le comprenais malgré tout. En tout cas, le seul point sur lequel il se trompait, c’était ma pseudo attirance pour les filles. Sinon, je m’étonnais toujours de voir à quel point mon frère lisait en moi… Papa, n’avait pas réellement était étonné. Il savait bien que son fils allait le lâcher un jour. Et moi je commençais à douter… Je finirai bien par ne plus fréquenter le « groupe » après nos études, ce sera fini… Et Hanna étudiait a Cambridge, c’était loin, je ne l’a voyais que les vacances..
ACTE SIXIÈME ; LE NOUVEL ENVOL.
J’étais seule, je venais d’avoir vingt ans. J’étudiais toujours en arts, mais je ne savais absolument pas quoi faire de ma vie future. Je voulais chanter et danser, et écrire, ça c’était sur, mais ou cela m’amènerait ? Je ne savais même pas quoi faire de ma vie et mes relations amicales et familiales étaient instables. J’étais majeure depuis deux ans, je pouvais faire ce que je voulais. J’ai d’abord pensé à aller vivre en Italie, mais cela me rappellerait des mauvais souvenirs. Et je ne me débrouillais pas extrêmement bien en italien. Je savais parler Français et Espagnol. Mais la France était trop proche de Londres. J’avais envie de quitter l’Europe. D’élargir mes horizons et d’agrandir mon livre de géographie intérieur. J’ai tourné mon globe en fermant les yeux et j’ai posé le doigt sur un pays au hasard, c’est d’abord tombé sur le Japon, le Japon, non merci. Ensuite j’ai étendu mon planisphère sur ma porte, je me suis bandée les yeux et j’ai balancé une fléchette au hasard, c’est tombé sur l’Inde, pour l’Inde je pensais la même chose que pour le Japon. Alors j’ai finalement considéré mon planisphère pendant de longues minutes. Je ne croyais pas à ces jeux de hasard, la preuve, j’avais loupé deux fois.. J’ai choisis l’Argentine. Sans me poser de questions. L’Argentine, ça m’inspirait. J’ai pris le temps de dire au revoir à tous mes « amis ». Et attendu les vacances pour pouvoir dire au revoir à Hanna, ce serait celle qui me manquera le plus. Mais il fallait bien que j’avance et que je vive, comme Adam me l’avait dit et comme Elliot le désirait. Les adieux avec mon père et Maryline furent court, mais tout de même larmoyant. Papa savait parfaitement que s’il perdait Adam, il me perdait aussi, et puis nous étions adultes, nous savions ce que nous faisons. Je suis arrivée à Buenos Aires, seule, encore plus seule qu’avant, mais la solitude ne me dérangeait pas. J’allais pouvoir me trouver loin de tous les problèmes que j’ai laissés en Angleterre, ici j’allais vivre ma vie. Je suis arrivée à Buenos Aires, en plein milieu de l’année, au beau milieu du mois d’avril. Il fallait que je me trouve un boulot provisoire et que je reprenne les cours là où je m’étais arrêtée, il me restait une année. J’ai travaillé comme serveuse pendant quatre mois, jusqu'à aout. Papa m’avait donné de l’argent et m’en avait mit sur mon compte, mais je ne voulais pas tout utiliser, je devais me gérer seule, je devais apprendre à être encore plus autonome que ce que j’étais déjà. Ce ne serait pas très dur, il allait falloir que je sache gérer mon argent et que je tienne mon appartement en état, même si je suis bordélique, il faudrait qu’il soit un minimum lavé, si jamais j’ai un colocataire un jour, j’aurais autant ne pas avoir à me prendre la tête avec lui ou elle.
Bienvenue dans la réalité !
Quel est ton nom / pseudo ? on me surnomme Lula. (a) Quel âge as-tu ? quinze ans. Comment as-tu découvert Remember that day ? prd *-* Que penses-tu du design ? magnifique, je kiffe sa mère grand ! Sur une échelle de un à dix, donne nous ta disponibilité s'il te plaît pour la semaine 5/10, je suis une bonne élève, qui travaille beaucoup Ton personnage est-il issu d'un scénario du forum ? non. A quel groupe appartiens tu? Je croque la vie à pleines dents. Quel est le code du règlement ? ok by rosie Peut-on avoir un exemple de tes rp?
Spoiler:
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And she's buying a stairway to heaven;
Il faisait froid, terriblement froid. Séraphine aurait finalement mieux fait de faire péter la combinaison de ski. Même si ça n’aurait pas été fashion. De toute façon, soit on avait pas le style, soit on crevait de froid. La perspective de ne pas avoir le style était plus alléchante n’empêche. Emmitouflée dans ses écharpes, Annaelle patientait afin d’attendre que la jeune femme, qu’elle semblait connaître s’avance encore plus. Elles se sont observées toutes les deux pendant au moins cinq bonnes minutes. Blondie pouvait lire dans les yeux de Heaven ? qu’elle lui disait quelque chose à elle aussi. Elle ne l’avait donc pas oublié. Et c’était bien Heaven. Cela faisait un an et demi qu’elles ne s’étaient plus adressées la parole. Ou écrit. Séraphine se rappelait toutes ces lettres qu’elles s’envoyaient. Elle écrivait pendant plus d’une heure. Et elle recevait des lettres toutes aussi longues de la part d’Heaven. Ou alors, elles passaient souvent toute une après midi et une soirée, voire nuit ensemble sur internet. Skype et tout ça… Heaven était vraiment une amie à ces yeux. Elle pouvait tout lui dire, et réciproquement. En peu de temps, elles se sont fait une confiance aveugle. Mais Séraphine savait que pour rien au monde, elles se trahiraient. En fait, Heaven c’était devenue sa « meilleure amie », en quelques sorte. Elle n’avait jamais été aussi proche avec une fille. Séraphine s’entendait mieux avec les mecs, et ce depuis toujours. Mais parfois, ça faisait du bien de se confier à quelqu’un du même sexe, autre que sa mère (adoptive, dans le cas de Blondie.) Bien sûr, elle n’avait pas tout dit à Heaven, parce qu’elle ne disait rien à personne en réalité. Puis Heaven s’écria finalement. Elle avait reconnu Séraphine, cette dernière était soulagée. Il n’y avait rien de pire que de voir une amie chère ne plus vous reconnaître, on paraît impuissant, ça nous fiche le moral à zéro. On regrette, on repense à toutes les choses faites ensemble du temps où on se connaissait incroyablement bien, et ou on se disait des histoires. Ça ferrait terriblement mal de ressentir ça, maintenant. C’était donc à New York qu’Heaven était partie. C’était donc pour ça qu’elle ne répondait plus à ses lettres et que Blondie n’arrivait jamais à la joindre. Elle s’était pourtant entêtée pendant quatre longs mois. Rappelant au moins une fois par jour. Laissant des messages. La personne a qui avait été ré-attribué ce numéro devait se sentir harcelée. Il était étonnant qu’elle n’ait pas appelée les flics. Vraiment très étonnant. Le sourire d’Heaven était radieux. Séraphine avait gardé cette image dans sa tête. Elle se disait que si jamais un jour elle ne se reverrait plus, (ce qui est arrivé, pour son plus grand malheur) elle pourrait toujours penser à son sourire et ça lui remonterait le moral, ou le lui baisserai. Annaelle n’aurait jamais pensé retrouver une amie ici. Elle était revenue pour tout recommencer à zéro, mais retrouver la petite brune ne lui était pas déplaisant, du tout même. Elle était heureuse et se sentait pousser des ailes. Elle sourit en constatant qu’elle n’avait pas grandi, elles avaient toujours la même taille, enfin à deux ou trois centimètres près. En général Séraph’ avait l’habitude de se retrouver avec des gens mille fois plus grand, ça la complexait, avec Heavy, elle s’en foutait, elles étaient toutes les deux des petites naines, mais tout de même tenace. Heaven avait eu l'air étonnée de trouver Séraphine ici, en plein New York. Un peu comme elle, d'ailleurs. Son amie lui avait demandé d'une façon tellement surprise ce que Blondie faisait à NY. Eh bien, il semblerait bien que la petite française de base ait décidé de se perdre en plein coeur d'une des plus grandes villes américaines..
« Ouais, la frenchie pure souche avait envie de venir découvrir le mode de vie américain, un rêve de gosse. Ou bien plutôt que c’est du en partie au rêve… »
Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase, Heaven lui sauta dessus. Elles se tenaient dans les bras pendant de longues minutes. Toutes les deux très tactiles et bisounours entre elles. Blondie serait la brunette de toutes ses forces, une larme de joie qui perlait sur sa joue. Et puis elle poursuit sa phrase dans un chuchotement.
« …. Américain. »
Elle se retira et scruta Heaven dans ses yeux noisettes brillants, ou plutôt pétillants. Ils pétillaient. Cette petite folle lui avait drôlement manqué !
« Heavy, tu peux pas imaginer à quel point tu m’as manqué putain. »
La jeune femme avait envie d’assaillir la brunette de questions, mais elle se retient, les questions et explications seront pour après, elles fêtaient leur retrouvailles ! De toute manière, Annaelle se doutait bien que si Heaven était partie, elle avait été prise par le temps, pas le temps de récupérer des adresses ou d’autres affaires personnelles. Et il devait bien y avoir une raison valable. Bah tiens, juste quand on se pose des questions intérieurement, une partie des réponses arrivent à l’oral. Merveilleux.
« C’est pas grave tu sais, en étant correspondantes, je savais que ça risquerait d’arriver, soit parce que tu aurais grandis et changé, soit parce qu’avec l’usure on aurait plus eu grand-chose à se raconter, soit parce que tu aurais du retourner ches toi ou quitter l’internat comme tu l’as fait. Je m' inquiétai au départ, après, je me suis fait des films, comme tu sais parfaitement que j’ai l’habitude d’en faire. »
Je l’ai regardé souriante, même si j’avais eu peur, même si elle m’avait manqué, quoiqu’il arrive, je comprendrai son choix et je l'approuverai.
« Si tu veux en parler, on en parlera sans aucun soucis, j’avoue que ça ne me déplairait pas de savoir les raisons qui t’ont poussées à venir ici. Je te raconterai les miennes aussi. »
Elles avaient tout le temps devant elles, c’était quand même incroyable que le destin fasse que deux amie se retrouvent après plus d’un an d’absence totale. Blondie avait bien sentie qu’elle devait attendre que la silhouette se rapproche. C’était un coup du destin à tout les coups. Même si en général, Séraphine ne croit pas en ce genre de chose. Elle trouve que le destin est quelque chose qu’on a inventé pour trouver un excuse ou empêtrer les Hommes encore plus profondément dans leurs idéaux. En fait, elle y croyait quand ça l’arrangeait Annaelle. Séraphine jeta un coup d’œil dans son sac de chez Starbucks, bon, elle avait déjà finit son muffin, inutile d’en proposer à Heaven. Cette dernière lui confia qu’elles auraient certainement des tas de choses à se dire. Oh ça oui, après un an et quelques longs mois, elles auraient des choses à se dire.
« Bon, je t’aurais bien proposée un bout de mon muffin, mais grosse morfale comme je suis, j’ai tout finit. Alors si tu veux on peut aller au Starbucks de nouveau, ou ailleurs si t’as pas faim, enfin j’ai encore des parcelles de la ville à visiter. »
Il est vrai que New York n’est pas une ville qui se visitait en deux jours maximum, il fallait probablement au moins une semaine en ne se consacrant qu’a ça pour voir tout ce qu’il y avait à voir. Séraphine n’avait pas franchement eu le temps, entre l’université et l’adaptation de son appartement… Malgré tout blondie n’avait pas trop trimé pour se faire à Fordham. Enfin, elle ne connaissait que la partie de l’univ dans laquelle elle avait cours. Ainsi que le réfectoire et la cafétéria. Les endroits principaux de survis.
« Bon, je vais t’expliquer les raisons pour lesquels je suis venue ici. Enfin, si t’as le temps de m’écouter. En vrai, j’avais envie de changer d’horizon un peu, Paris m’ennuyait, bien que j’aime énormément cette ville, mais j’avais besoin de nouveaux horizons, de voir de nouvelles têtes. De changer mon mode de vie quoi. Et comme avec Mattéo on a toujours eu envie de venir aux States, l’occasion s’est présentée. Je me débrouille parfaitement en anglais. Certes j’ai un accent français merdique, mais peut- importe, certains disent que c’est mignon. Bref. Du coup, je n’ai plus hésité. J’ai eu l’accord de mes parents adoptifs, à condition que je les appelles deux fois par semaine au moins…. »
L’histoire passionnante de Séraphine Annaelle Delannoy ! La demoiselle pourrait écrire un livre, une autobiographie, le pire c’est que c’était la réalité, elle avait tellement de choses à dire, à exprimer au monde extérieur. Balancer tous ces secrets ! Elle se tourna vers Heaven, dès le départ, elle avait remarqué qu’elle « semblait » heureuse, ça l’avait rassuré de savoir qu’elle allait bien depuis tout ce temps.
« Et toi, tu venais d’où ? Qu’as tu fais par ce temps de chien à Central Park ? Tu es aussi givrée que moi, c’est ça ? Ah, et si tu veux m’expliquer, je t’écoute ma chérie. Je pourrais t’écouter pendant des heures. Surtout après tout ce temps.. »
Une dernière chose à nous dire ? je crois que je vous aime déjà
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Dim 9 Jan - 11:27
WELCOUUUUUME!
Bonne chance pour la suite de ta fiche
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Dim 9 Jan - 11:37
Hey hey! Bienvenido!
Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Dim 9 Jan - 11:39
merciiiii à vous
je m'empresse de finir ma fiche, mais ça sera pas ce soir, je suis naze. xD
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Dim 9 Jan - 16:09
Bienvenue sur RTD & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Lun 10 Jan - 5:18
Welcome (: ♥
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Lun 10 Jan - 5:33
bienvenue, excellent choix d'avatar :) bonne chance pour ta fiche
ADMINISTRATRICE Ϟ Life is like a game; and i'm a misguided ghost in the game of the life.
« Levannà A.T. Milkova-Levy »
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→ NOMS COMPLETS : Levannà Alice Thaïs Milcova-Levy → SITUATION : Célibataire → PAPIERS : 3503 → BOULOT : Fait études de photographie et travaille chez un photographe en développement de pellicules. → J'AIME : Etre tranquille chez moi à écouter de la musique; sentir le parfum des fleurs; photographier les petites choses de la vie; écrire sur mon corps; me promener tôt le matin; regarder le bleu du ciel et fumer une cigarette. → J'AIME PAS : La joie de vivre; manger; qu'on me parle, la mer.
Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Lun 10 Jan - 6:42
WELCOME petite poule Dianna *_* Je plussoie
• Merci d'être parmi nous • Et bonne continuation pour ta fiche 8D
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Lun 10 Jan - 6:52
Bienvenue Dianna . ( caspian ! )
« Jaime V. Cardozo »
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→ NOMS COMPLETS : JAIME VALENTINO CARDOZO → SITUATION : célibataire, plus pour longtemps.. → PAPIERS : 2167 → BOULOT : underco → J'AIME : EVERLYNN → J'AIME PAS : PAPA
Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Lun 10 Jan - 8:10
omfg omfg omfg DIANNA QUOI merveilleux choixdelamortquituetoutsursonpassage ! sans ça bienvenue (: je suis en kiff sur ton pseudo et les avatars de ta fiche !
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Lun 10 Jan - 8:13
Welcome
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« Vanille-Cheerbone Caspian »
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→ NOMS COMPLETS : Santana Vanille-Cheerbone Kalliste-Rose Caspian → SITUATION : en couple et très heureuse. → PAPIERS : 4509 → BOULOT : étudiante. mais ne va pas tarder à réaliser son rêve. → J'AIME : Liam. Liam. Liam. La musique, l'écriture, l'Angleterre et l'Italie → J'AIME PAS : Les grogniasses, les machos, ta soeur peut-être et puis le pape allez.
Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Lun 10 Jan - 9:36
bienvenue bonne chance pour ta fiche ! dianna si tu as des questions, n'hésites pas *-* !
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Lun 10 Jan - 10:45
Merci à tous purée vous êtes adorable ! j'ai bien fait d'avoir retenu ce fofo et d'avoir craqué surtout !
Je suis contente de pouvoir constater que le pseudo plaît, si vous saviez combien de temps j'ai passé à le choisir
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Lun 10 Jan - 11:56
Bienvenue
Très bon choix d'avatar, Dianna quoi & Très belle fiche à date.
ADMIN ϟ ❝come on skinny love just last the year.❞
« Vanille-Cheerbone Caspian »
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→ NOMS COMPLETS : Santana Vanille-Cheerbone Kalliste-Rose Caspian → SITUATION : en couple et très heureuse. → PAPIERS : 4509 → BOULOT : étudiante. mais ne va pas tarder à réaliser son rêve. → J'AIME : Liam. Liam. Liam. La musique, l'écriture, l'Angleterre et l'Italie → J'AIME PAS : Les grogniasses, les machos, ta soeur peut-être et puis le pape allez.
Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Mar 11 Jan - 9:34
J'ai édité ton code qui était le bon bonne continuation (:
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Mar 11 Jan - 10:30
Merci han, c'est gentil Skyler oui, Dianna je l'adore cette fille !
« Everlynn C. Marquez »
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→ NOMS COMPLETS : everlynn claudia marquez. → SITUATION : amoureuse transi. :arrow: → PAPIERS : 2282 → BOULOT : au chomage... → J'AIME : JAIME. → J'AIME PAS : les vers de terre.
Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Mar 11 Jan - 21:52
Jaime V. Cardozo a écrit:
omfg omfg omfg DIANNA QUOI merveilleux choixdelamortquituetoutsursonpassage ! sans ça bienvenue (: je suis en kiff sur ton pseudo et les avatars de ta fiche !
je n'aurais pas dis mieux. (a) bienvenue vanilleprénomtoutchouquej'aimecommemondada j'adore ton histoire et ta façon d'écrire. je te souhaite de bien t'amuser parmi nous
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Mer 12 Jan - 4:01
Bienvenue :)
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Mer 12 Jan - 9:16
Merci à vous deux
Ever'; je compte bien m'amuser, j'ai déjà des idées pour faire avancer mon personnage,donc tout va bien & merci pour les compliments, c'est gentil.
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Mer 12 Jan - 12:02
Désolée du dp, mais je pense avoir fini ma fiche
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« Levannà A.T. Milkova-Levy »
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→ NOMS COMPLETS : Levannà Alice Thaïs Milcova-Levy → SITUATION : Célibataire → PAPIERS : 3503 → BOULOT : Fait études de photographie et travaille chez un photographe en développement de pellicules. → J'AIME : Etre tranquille chez moi à écouter de la musique; sentir le parfum des fleurs; photographier les petites choses de la vie; écrire sur mon corps; me promener tôt le matin; regarder le bleu du ciel et fumer une cigarette. → J'AIME PAS : La joie de vivre; manger; qu'on me parle, la mer.
Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Jeu 13 Jan - 7:11
Ta présentation est géniale ma Vanille Je te validetoutdesuitesurlechampdesagrandmaman !!!!
J'espère que tu vas bien t'amuser parmi nous et n'oublie pas de générer ta feuille de personnage
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground. Jeu 13 Jan - 9:42
Merciii oui je génère ma feuille tout de suite ! Et je compte bien m'amuser sur le forum
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Sujet: Re: santana vanille caspian | the life is the same that a playground.
santana vanille caspian | the life is the same that a playground.
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