♂ Jaime Valentino Cardozo

Feat Hayden Christensen

© white rabbiticons

© Heart Uncharted - Sa mère est paraguayenne et son père américain - Ils divorcent à ses 1 an et il va en amérique - Il adore fumer des clopes - Il fais des paris stupides avec ses amis - Il rencontre sa meilleur amie, Evelyn, à l'aéroport (bizarre?) - Il a couché avec sa meilleurs amie et elle tomba enceinte - Il croit l'aimer - Mais il fuit l'Amérique et va en Argentine, pour rejoindre sa mère - Il change de nom de famille, et prend celui de sa mère, Cardozo - Il continue sa vie, bien qu'il s'en veut à mort - Il adore l'Argentine - Il a un petit accent - Il a une BMW et il l'adore - Il adore les barbes à papa - C'est un accro aux boites de nuit - Il se drogue, pour des occasions spécial - Quand il apprend qu'Evelyn est de à Buenos Aires, il panique - Il s'appelle ; Jaime Valentino Cadozo

♫ Oh, miroir, mon beau miroir... © Bidouille (mot-dit-net) Comment le définir... Jaime est quelqu'un d'extrêmement simple, qui n'aime pas trop se vanter et qui se la pète, même si il fait tout pour que les gens y croient. C'est une personne très attachante; gentil et sympathique et c'est pour cela que beaucoup de gens ne peuvent pas se passer de lui. Mais, n'allez pas croire qu'il est toujours gentil, et qu'il n'embête jamais les autres ! Oh que non. Jaime, c'est avant tout, quelqu'un de très taquin, dragueur et parfois, mal-honnête. Il est très mauvais perdant, et déteste qu'on le taquine. Il est aussi lâche, et abandonne rapidement, surtout quand il sais qu'il finira perdant. Il est plutôt du genre "je sais que je suis le meilleurs, j'aime qu'on me le dise, mais j'fais genre d'être modeste". Truc compliqué. Sinon, c'est quelqu'un d'assez joueur, parfois raisonable et un peu trop égocentrique. M'enfin, quelqu'un de très aimer et de sympathique (: .

☺ C'est l'endroit idéal pour draguer... © BIDOUILLE Avouez le mon corps est sublime ? J'ai des abdos bien dessinés sans parler de mes muscles . J'ai une belle chevelure blonde foncés qui en fait rêver plus d'un et je ne suis ni trop grand, ni trop petit. Avec une taille pareille très difficile de passer inaperçu vous ne trouvez pas ? Tout le monde est en "admiration". J'ai de beaux yeux bleus, mais qui ne ressortent pas beaucoup avec le blond foncés de mes cheveux. Mais ça suffit amplement pour faire tourner des têtes ! J'ai un visage d'ange, des très parfaitement dessiné et une bouche sucré et pulpeuse. J'ai un style bien défini, particulier en faite. Je suis en même temps "stylés" et "à la mode" sans en faire trop, et rester dans le simple. Je suis pas du genre à changer de style comme de chaussettes, en fait, ont me reconnais souvent dans mes habits. Mais, autant dire, que ça suffit pour les filles... En fait, je sais que même sans mes fringues de fils de riche, j'en ferai craqué plus d'une, même en pijama pour gamin. Mais le naturel me va aussi très bien, pas coiffé et pas reveillé.

♥ Je veux l'amour, la joie, la bonne humeur... JAIMEVER La vie de Jaime Cardozo, aussi émouvante et passionnante soit-elle, n'est pas si joyeuse. Les périodes de sa vie sont tellement différente. Le blanc et le noir. Le bien et le mal. La joie et la tristesse. Le soleil et la pluie. Le Ying et le Yang. Le sourire et les larmes. Voilà, voilà les deux périodes de la vie de ce jeune homme. Des erreurs, beaucoup d'erreurs. Dont une ; entrer dans la vie d'une certaine demoiselle, une demoiselle qui le rendra fou, Everlynn Marquez. Mais ca, c'est encore récent, et on dois toujours commencé par le commencement. Au tout début de cette petite existence. Tout commença un certain douze juillet. Ce fut sous la forte pluie de Paraguay que naquit ce petit bout de choux. Cette ange. Lui, Jaime Valentino Cardozo, né Strew. Il pleuvait beaucoup, vraiment beaucoup. Là, il pleut BEAUCOUP de cordes. Ou des milliers de chiens et de chats. La terre était-elle triste que petit bonhomme naisse ? Peu-être. Mais ca, faut encore le prouver, parce que pour le moment, c'est un ange lui. Comme tout enfant fraichement sortis du ventre de la mère, en fait. Dans cette pièce bien au chaud, à l'abri de la pluie, on y trouve deux jeunes gens, épanoui. Leur enfant venait de naître, si ce n'est pas merveilleux ! Une naissance, c'est toujours un bonheur. Et encore plus pour Zahira Strew et John Strew, ces jeunes tourtereaux à peine marier, ont désormais un enfant, à eux. Et ensuite, c'est la joie, la fête, les sourire et tout et tout. Puis, on découvre les « joies » d'avoir un enfant. Les choses commencèrent à se corser pour les deux amoureux. Le père se consolait avec sa secrétaire, collègue ou autres, tandis que la mère elle, étais obligé de rester avec son enfant. Ce n'était pas une vie ca. Ca n'en était plus une... Alors forcement, un jour, leurs relations pris fin. « Comment oses-tu ? Tu devrais avoir honte ! Tu n'es qu'un connard, bars toi ! Je veux plus te voir, hors de ma vue ! » - « Tu me parles sur un autre ton non mais oh ! C'est quoi ces manières ? C'est comme ca que tu veux élever ton fils ? Tu parles d'une mère ! Et bien jm'en vais ! Loin de toi et de ton horrible pays ! » - « Mais vas te faire voir écoutes ! Si tu n'aimes pas mon pays, BARRE TOI ! Vas-t-en, personne ne te retiens, et encore moins moi. » Un américain et une paraguayenne, une chose est sûr, c'est mouvementé. Ce fut rapide, le divorce et toute l'histoire. Et bien sûr, qui eut la garde de l'enfant ? Le père voyons. Ce riche homme d'affaire avait de quoi nourrir son enfant. Alors, forcement, c'est mieux pour le petit bonhomme. Malheureusement lui, il n'avait pas son mot à dire dans l'histoire, étant beaucoup trop jeune. A deux ans, il arriva sur le sol américain, et s'en suivit, une vraie vie d'américain. Il avait presque tout pour envier. Il lui manquait juste ; un père, une mère, et une petite amie. Oui, presque tout. Car de l'argent ; il avait, des filles à ses pieds -et pourtant pas de petite amie hein- ; il avait, des potes ; il avait, le sourire ; il avait, le charme ; il avait, il avait même tout les droits c'est dire. C'est vrai qu'avec un père jamais là, et une maison à lui tout seul, Jaime Strew était plutôt content. Pourtant, sa vie n'était finalement pas destiné à ce destin, car peu de temps après avoir eu ses seize ans, il rencontra quelqu'un, il eut comme un déclic en lui, et il découvrit enfin ce qu'étais le réel amour. Oui, à son âge. Certains diront a de la chance, d'autres non. Dans son cas on dira que non. Car le typique mec qui s'y croit trop et qui rencontre l'amour de sa vie à seize, croyez-moi, ce n'est pas beau à voir. L'amour c'est un sentiment nouveau, que chaque personne attend. Certains attendent longtemps, beaucoup trop longtemps... Et il y a ceux sur qui ca tombe du jour au lendemain, sans vraiment avoir demandés quelques choses. Ce fut le cas de Jaime qui n'avait rien demandé. Du haut de ses seize ans, Môsieur pouvait déjà dire qu'il avait vécu la chose, LA grande chose que tout le monde rêve d'avoir subitement ; la chose qu'on appelle coup de foudre. Et oui, l'amour c'est bien ca, ca te tombe dans les bras d'un coup, comme un enfant -d'ailleurs, ca aussi ca lui tombera dessus, enfin bref- . La chose horrible qui est en même temps horrible que magnifique, apaisante que douloureuse. Mais sur le moment, il ne dira pas non, loin de là. Dans le fond, sa vie était misérable, et un peu d'amour ne lui ferait pas de mal. Un peu d'amour de la part de cette fille si fantastique qu'étais son premier -et sûrement dernier- amour. Tout commença par des courriers, des premiers courriers pourtant simplet. Une correspondance, oui oui. Et pourtant, Jaime ne cessera de remercier son collège pour ca -bizarre? On lui avait assigné une belle Argentine fort sympathique. Au fil des courriers, les deux jeunes gens tournèrent vers les confidences et une réel amitié les lia. Même peu-être plus, car il est vrai que Jaime ne restait pas insensible face à la plume de la demoiselle, et elle de son côté non plus. Durant des mois, des jours et des nuits, son seul rêve se résumait à elle. Il voulait la voir plus que tout, car mademoiselle refusait tout envoi de photos avant le merveilleux jour, le merveilleux jour de leur réel rencontre. Bienvenu dans le monde réel ! « Elle était telle que je l'espérais ; belle, sympathique et timide. Elle était telle elle me l'avait dis, j'étais aux anges. « Everlynn, je suis si heureux de te voir enfin! » Je ne me rappelle pas comment j'ai eu la force de prononcer mes premiers mots, mais ce que je sais c'est qu'elle m'hypnotisa. J'affichais sur ma tronche un sourire débile -pour ne pas changer- quant à elle, elle essayait vaguement de sourire timidement. Elle me sortit rapidement des mes rêveries, mais le son de sa voix ne fit finalement qu'empirer les choses, augmenter mon coup de coeur pour elle. « Moi aussi Jaime, si heureuse » Elle me sourit, et ca m'a suffit. Son sourire m'a suffit amplement pour croire en l'amour, j'étais si aveugle. L'amour rend aveugle, et j'avais eu de la chance, car, à ce qu'il parait, parfois tu perds tout tes sens. Moi, j'avais été (du moins j'avais essayé) fort et j'avais pu tenir le coup. Je me disais sans cesse qu'il fallait que j'arrête de penser à elle, et pourtant je ne pouvais pas. Elle me hantais, et encore maintenant elle me hante. Jamais je n'aurai cru que mon amour pour elle me perdra aussi loin. Je m'étais tout simplement égaré. À aucun moment de ma vie cette jolie jeune fille sortait de mon esprit. Jamais je ne pouvais cesser de penser à elle, et chaque jour qui s'approchait de nos retrouvailles, je devenais tout simplement fou. Chaque fois qu'elle revenait, pour moi, à chaque fois que je posais à nouveau mon regard sur elle, je partais au septième ciel. Tant de fois j'ai prié pour qu'elle aussi ressente ce sentiment qui me tuer petit à petit, à petit feu, ce sentiment qui m'a détruit pendant tout ce temps, pendant que je lui cachais à quel point je l'aimai. Ca m'a affecté dans mon petit coeur tout faible, parce qu'à chaque fois que je la voyais sourire, j'avais cette envie qui montait en moi petit à petit, ce transformant en besoin, ce besoin que je ne pouvais pas contrôler, ce besoin de la prendre dans mes bras et de lui dire à quel point je l'aime... D'ailleurs, quand je craquais, elle ne se doutait pas que je lui disais dans l'autre sens, et je crois que c'était mieux, à une certaine époque. Maintenant, sachez que je regrette plus que tout de ne pas l'avoir fais plus tôt, ou tout simplement, de l'avoir fais. Je ne sais pas si le fait de lui annoncer plus tôt aurai changé mon attitude quelques années plus tard, mais je sais que j'aurai fais beaucoup moins le con avec elle, et que j'aurai partager des moments encore meilleur que ceux que je passai déjà en sa compagnie. J'ai été con, et je crois que je le regretterai à jamais. Mais ce n'est pas pour autant que je ne profitais pas, loin de là. C'est vrai, je n'étais pas très à l'aise en sa compagnie, mais pourtant j'agissais assez normalement. Elle avait devant elle le Jaime Cardozo trèès con, et je crois que ca la charmais, c'est mieux pour moi mais en même temps. Parce que si elle m'aimait, qui aimait-elle (caveutriendire OSEF) ? M'aimait-elle moi, pour tout se que j'étais, ou seulement pour le Cardozo très con ? Parfois je me posais ce genre de question et ca avait le dont de me démoraliser. Je devais arrêter, à tout prix. Arrêter de faire le con, malheureusement c'était plus fort que moi, je pouvais pas. Et puis, si ca la charmais, tant mieux hein ! « Alors c'est un oeuf qui attend son pote qui est en retard, alors il fait ''si dans 5minutes il est pas là, je me casse !'' » - « T'es au courant que tes blagues elles sont merdique Strew ? » - « Mais c'est pour ca que m'aimes ! » Elle éclata de rire. « Rêve ! » - « Vas-y, dis-le. » - « Dire quoi ? » - « Que tu m'aimes ! » Il se leva du canapé et s'approcha dangereusement d'elle, posa ses mains sur sa taille et la regarda dans le blanc des yeux. La vérité c'est qu'il rêvait qu'elle lui dise, même si elle le dis dans le sens d'amitié, il voulait tout simplement entendre ca de sa bouche, et surtout, pour lui. « Je t'aime Jaime. » Il lui sourit et la pris dans ses bras, avant de lui chuchoter à l'oreille à son tour ses sentiments pour elle. « Moi aussi je t'aime ever. » Et chacun le disais avec la même définition, dans le même sens, si c'est pas mignon. Seulement voilà, aucun des deux ne le savait, ce qui n'arrangera rien. » Jamais je ne pourrai oublier ce genre de moment, ils sont graver en moi et dans mon coeur. Jamais, Ô grand Jamais je ne l'oublierai, elle, mon grand amour. » C'était son anniversaire, le jour de ses vingt ans, c'est ce jour que Jaime regrettera plus que tout. Les journées qui s'en suivirent deviendront par la suite flou, et les seuls choses qu'il se remémorera ce sera ces moments passé avec Everlynn, le reste n'importe pas. Pour cette anniversaire il eut un cadeau bien spécial, et pour couronner le tout, il fit une belle connerie qu'il regrettera à jamais. « Comme à chaque anniversaire de Monsieur Strew, celui-ci le passait avec ses amis, et cette année il avait eut la chance d'être accompagné de sa petite amie de l'époque, Everlynn Marquez. Oui oui, cette fille qui il a mis tant de temps à se déclarer devient par la suite sa petite amie et son plus grand amour. Il faut dire qu'ils s'aimaient plus que tout eux deux, l'amour parfait. C'était beau à voir, qui aurait pu croire que finalement, Jaime est aussi romantique ? C'est sûrement ca quand on rencontre l'amour de sa vie. Il en était persuadé, c'était elle sa moitié, son âme soeur. C'était obligé, c'était le destin -par la suite il ne croira plus au destin hein! Eux deux ca avait été le coup de foudre directe, et puis finalement, le magnifique couple que tout le monde enviait. Seulement voilà, la vie n'est pas si rose bonbon que ca ; il y a toujours un problème qui fais chier ce genre de relations amoureuse. Bizarrement, la distance n'en était pas un, en revanche, l'homme du couple et sa stupidité en était un, et un gros. Enfin bon, revenons-en à ce jour si spécial. Jaime dévala enfin les escaliers et y découvrit l'amour de sa vie, les yeux clos. Ni une ni deux, Monsieur se jeta littéralement sur elle et lui caressa doucement les cheveux. Puis, il posa ses mains sur les épaules de sa douce et inspira profondément, s'inquiétant de plus en plus. « Jaime, j'ai quelque chose a te dire » Une grande vague d'inquiétude le terrassa. Et si elle voulait en finir avec lui ? Et si elle allait repartir à jamais ? Et si... Des millions de questions trottèrent -le mot juste serait plutôt galoper- dans sa tête et Everlynn mis fin à toute cette inquiétude, finalement cossé pour un rien. « Je suis enceinte » Il ne put en écouter d'avantage -d'ailleurs, il n'y en eut pas plus- qu'il se mit instantanément à pleurer. Pour un couple comme eux, on peu être tout content, ils s'aimaient, mais ils étaient beaucoup trop jeune pour ca. Il ne voulait pas, du moins pas pour le moment. Il n'était pas prêt, vous le voyez vous, en papa à à peine vingt ans ? Ca ca dois être du spectacle ! Sans réfléchir il prit son sac, et sans réfléchir non plus la regarda une dernière fois dans les yeux. Il ne voulait pas assumer, ou plutôt n'était pas prêt à assumer. « Je suis désolé... Je t'aime. »Il la regarda profondément et l'embrassa une dernière fois -ce dernier baiser lui produit l'effet de millions de frisons- puis, il tourna des talons sans jamais regarder en arrière, pourtant ce n'était l'envie qui lui manquait. Quand enfin, Everlynn comprit, elle se mit à crier à tout poumon, le suppliant de revenir. Il ne pouvait pas, car c'est un imbécile, et il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. D'ailleurs, ce n'était pas un avis ca, c'était une décision que son coeur n'avait pas pris mais que ses jambes avaient prises. Il avait fuit l'amour de sa vie pour un cadeau qu'il refusait. Oui, il est con ce mec. Ils auraient pu se battre ensemble contre les mauvais regards des autres ou pire, mais à la place, il sauvait son petit cul et laissais en plan la femme de sa vie et son enfant ; un con je confirme. On peut dire que durant toute son adolescence Jaime mangeait Everlynn, dormait Everlynn, pensait Everlynn (…). Et apparemment, son adolescence n'est pas encore achevé, du haut de ses vingt ans, son premier amour lui resserve encore bien des surprises, car au final, l'histoire du magnifique couple Jaime et Everlynn, ca ne finira jamais. « Nous deux, c'est pour la vie Ever'. Je t'aimerai jusqu'à la mort. Pour toujours. » ALONE Après avoir fuis sa véritable -et nouvelle- famille et les Etats-Unis il décida d'aller voir sa mère qui vivait depuis peu à Buenos Aires. Même si ca semble totalement con, il y alla sans aucun problème, même si il savait très bien qu'Everlynn s'y trouverai dans quelques semaines ou même mois. Peu importe ; il y alla et changea de nom de famille pour celui de sa mère ; Cardozo. C'est donc Jaime Cardozo que vous retrouvez à Buenos Aires, finalement pas si changé. En fait si, un déprimé de la vie qui se déteste et qui passe ses journées à faire semblant que tout va bien. Puis, parfois il fait ses crises et s'enferme chez lui, à regarder du Jack Bauer ou Dr House. Bref, pas très passionnante sa vie. Il ne cesse de penser à Everlynn et à son enfant, ca il ne peut pas le cacher. À B.A on peut dire qu'il s'est vite fais des « amis » mais comme je l'ai dis, « vite fais » donc pas de grands amis. Il retrouva également d'anciennes connaissances ou d'anciens amis, et ca ça put lui rendre le sourire quelques jours, mais après BAM on repense à ce qu'il ne faut pas penser et on retourne à ses activités favorite, à savoir, fumer ou se regarder des films tout seul. Elle est cool la vie hein ? Pas des plus passionnante, c'est clair. Les seuls personne qui arrivent à les faire sourire doivent être Pixie, sa cousine fraichement venue à B.A et désormais nouvelle colocataire, Rose, une très bonne amie à lui, Thomas et peu d'autres encore. Finalement, Jaime ne profite pas tellement de sa nouvelle vie, car il est hantait. Mais un jour, tout va changer, et l'erreur ne sera plus acceptais. Dans une ruelle puante, des retrouvailles pas comme les autres. Des sentiments très fort se feront sentir non loin de ces poubelles puantes. Jaime se convertira en quelqu'un ayant enfrain la loi et il sera enfin capable d'avouer ses réels sentiments pour la seule qui a fait battre son coeur. Alors, hâte de voir comment tout cela va se finir ? version courte de la seconde partie de la vie de Jaime Cardozo. (a)

☀ Bienvenue dans la réalité !

♦ Quel est ton nom / pseudo ? Melina, mais appellez moi Kiki ; )
♦ Quel âge as-tu ? 12 ans
♦ Comment as-tu découvert Remember that day ? UD
♦ Que penses-tu du design ? Magnifique, on a du gout (a)
♦ Sur une échelle de un à dix, donne nous ta disponibilité s'il te plaît pour la semaine 9/10
♦ Ton personnage est-il issu d'un scénario du forum ? Nop
♦ A quel groupe appartiens tu? Mon passé me hante.... mon fardeau
♦ Quel est le code du règlement ? Ok by Joy'
♦ Peut-on avoir un exemple de tes RPs ?

Spoiler:

♦ Une dernière chose à nous dire ? Je vous aimes les filles <33