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 Le retour du guerrier.

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Nathaniel Crawn
« Nathaniel Crawn »
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MessageSujet: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyJeu 22 Sep - 1:54


Le retour du guerrier. Chace-crawford-2697172auhjg_1879

Nathaniel Crawn
Mais ne me dit pas où va le jour, je veux juste admirer tes soupirs s'éteindre à la lueur de tes rires. @L.G.

    who are you ϟ



    "Nathaniel il ne sait pas ce qu'il est, d'ailleurs je crois qu'il ne l'a jamais bien su et puis, comme il pourrait si bien le dire lui-même qui peut réellement trouver une réponse exacte à cela ? Une manière radicale de fuir la question et de parler d'autres choses car, si je peux vous dire une chose sur lui c'est bien celle-là : Nate n'a jamais aimé parler de lui. Oh bien sûr, il sera vous parler de ses passions, il sera vous faire découvrir la musique, vous faire rêver à travers son regard d'enfant, vous faire voyager au travers de ses contes fantastiques mais jamais, O grand jamais, il n'en viendra à s'ouvrir entièrement à vous. Dans le fond, Nathaniel est un être extrêmement mystérieux qui cache ses blessures et ses doutes derrière son sourire qu'il veut à jamais enjôleur et charmant. C'est d'ailleurs la première chose que l'on retient de lui son sourire, ce sourire fantastique qui ne quitte jamais ses lèvres et qui semble mystifier les alentours. Nate est pareil à un soleil, il rayonne et offre un peu de sa lumière à chaque personne qu'il rencontre. On pourrait appeler cela de la générosité, ce talent pour écouter les autres, ce don pour consoler les peines et vous faire partager sa joie de vivre immuable de sorte qu'en sa compagnie, vous vous sentiez toujours bien, si bien que tous les malheurs pouvant abalourdir vos pensées semble tout un coup s'alléger pour finalement disparaître peu à peu. Ainsi, j'aime présenter Nathaniel comme étant un magicien, pareil à une comète il traverse votre existence, impose sa luminescence et, en un regard, parvient à vous faire sentir plus beau et plus bon.

    Ainsi, les personnes ne le connaissant réellement le présenterait comme un être jovial et serein qui traverse l'existence sans s'encombrer des tourments que celle-ci impose habituellement aux êtres humains. Nathaniel, on le voit comme un rire, un être optimiste qui sait voir le verre à moitié plein quand d'autres le verraient à moitié vide. Emplit de détermination, il 'croque la vie à pleine dent' et vie pareil à un enfant un peu naïf en refusant de s'attarder sur les difficultés de l'existence. On pourrait alors le penser un peu innocent, peut-être un peu trop rêveur et son éternel bonne humeur pourrait en agacer plus d'un. Il faut dire que Nate passe parfois pour un extraterrestre, il est de ceux qui se moquent de devoir dormir dehors, de devoir quémander leur nourriture au coin d'une rue et de présenter une barbe de trois jours et une allure de sans abri. Il se moque en effet du regard des autres, il vit pour lui-même et accorde son importance qu'aux gens désireux de le connaître réellement et ne prête que peu d'attentions aux racontars et aux 'qu'en dira-t-on.

    Je dois avouer avoir toujours jalousée cette partie de lui. Nathaniel semble vivre en marge de la civilisation et cette nonchalance, cette façon discrète de se détacher du monde, de se faire tour à tour ombre et lumière et d’apparaître là ou on ne l’attend pas m’a toujours emplit de fascination. Ainsi, je me plais à le comparer à un phénix et lui-même accueillerait cette comparaison d’un sourire si je venais à lui dire. Il faut dire que Nathaniel est pareil à cet oiseau de légende, brûlant d’un feu intérieur le poussant à renaître sans cesse Nate sait puiser sa force de ses faiblesses et remonter à la surface qu’importe les difficultés. Il a ‘le don de vivre’ comme je me plais si souvent à le dire, don qu’il parvient à transmettre à autrui O oui, Nathaniel nourrit les cœurs d’espoirs et en sauva un de la noyade, un cœur qui vint hélas à perdre et qui, bien qu’il ne l’avouera jamais, je le sais, entraîna la fêlure de son âme.

    Et en réponse je le vois déjà monter sur ses grands chevaux en avançant haut et fort que non, tout n’est que calomnies et que jamais, O grand jamais, il ne souffrira à cause d’une femme. Cela n’est pas dans sa nature dira-t-il mais je sais, quand répondant cela, il ne fait que mentir aux autres et à lui-même. Allons, suis-je la seule à entrevoir sa peine ? Ne remarquez-vous pas le terne de ses sourires et l’ailleurs de son regard ? Comme si son esprit se trouvait en tout temps en sa compagnie, là où il dut la laisser et où il crèverait d’envie de retourner. O Nathaniel… Lui qui se ventait de n’avoir aucune attache, d’être un oiseau libre aussi fougueux qu’un cheval sauvage et insaisissable que le vent le voilà enchainé aux souvenirs de l’être aimé. Alors… Il porte sa douleur, la chante, l’écrit, la peint et parfois, lorsqu’il se rend au coin d’un feu gitan la danse. Car il n’a trouvé aucune autre manière de l’exprimer et car il refuse d’en parler à quiconque. Personne ne pourrait comprendre ce que lui-même ne comprends pas, pourquoi ne pouvons-nous pas empêcher un cœur de battre ? Pourquoi ne pouvons-nous pas lutter contre les sentiments et, enfin, parvenir à les tuer à la source afin de ne plus rien, jamais ressentir ?
    Nathaniel doit alors palier à ce manque, éteindre le souvenir de sa voix, tuer l’image de son regard jovial aussi se perd-t-il chaque soir dans les méandres de la débauche. O, cela n’a rien de très glorieux, lui-même ne s’en vente guère cependant, il le fait. Boire à outrance et agrémenté les effluves d’alcool de quelques taffes d’un joint bien mérité. Joint qu’il fume aussi le long de la journée, savourant cet instant divin où il part ailleurs et possède l’exquise impression de pouvoir à nouveau caresser ses cheveux comme si elle fut encore là, comme si rien n’avait changé…
    Et dans ces instants d’égarements Nathaniel devient un autre homme. Froid comme la glace il se montre irascible, hautain et ses mains alors rassemblées en elles même sembleraient prêtes à frapper quiconque oserait l’approcher. Dans ces instants là, Nathaniel ressemble à ce qu’il est réellement devenu : une âme en détresse qui tente vainement de se battre contre le courant sans cessé de boire la tasse à chaque vague. Il parait alors évident que le jeune homme aurait besoin d’aide et d’écoute cependant, Nate est bien trop fier pour avouer cela. Jamais de sa vie il n’eut besoin d’aide, jamais il ne reçut de compassion ou d’écoute et il tire sa force et son courage de ses faiblesses et de ces douleurs qui, jamais, ne parvinrent à l’anéantir. Il désire qu’il en soit de même aujourd’hui aussi évite-t-il tous les sujets se rapportant à cette femme : qui est-elle ? Pourquoi n’est-elle plus à Buenos Aires ? Alors comme ça, ça n’a pas marché entre vous ? Autant de questions poussées par le vice de la curiosité qu’il aimerait détruire et auxquels il répond d’une voix tranchante et définitive démontrant ainsi qu’il ne souhaite s’attarder sur la question.

    Mais alors, quand est-il réellement de lui ? Il ne le sait… Perdu, Nathaniel est un instable qui sauve les apparences en gardant son sourire. Hésitant, il tombe, se relève, trébuche et s’accroche encore et toujours à cette vie qui vibre en lui. Tel le phénix, il appelle à revenir, à renaître et à tourner la page, parvenir à éteindre cette douleur pour qu’elle ne soit plus que légère presque indescriptible. Alors il reste le même avec autrui, tel que ses amis l’ont toujours connu, bout entrain, joueur, charmeur également mais un œil avisé sera voir le changement. Nathaniel s’emporte plus facilement pour des broutilles, il se montre plus souvent irritable, agacé et appelle à la solitude. Ses nuits sont parées de cauchemars et ses jours… Ses jours ils les occupent à travailler dans un petit bar de la ville, travail précoce qui lui permet néanmoins de se payer un logement sommaire et de ce nourrir comme il le peut. Nathaniel s’accommode et se raccroche à ce qu’il peut agissant comme un automate, se bornant à tromper le monde en présentant ce qu’il fut avant tout en luttant contre la dérive. Guerre contre lui-même stupide et insensé qu’il voudrait voir se finir enfin…'



    a star is born ϟ


    « Nate il est toujours là, là où on ne si attend pas. Insaisissable il passe dans votre vie et, tel un ouragan emporte absolument tout sur son passage. Tornade blanche il s’éprend de liberté depuis toujours et trace sa route en s’arrêtant quand l’envie lui prend. Nate, il vit à contre temps, s’enivre de liberté et se passionne pour son monde. Nate, c’est un magicien, il possède la poésie des mots et transforme le laid en beau, parvient à rendre votre existence plus belle et fait, que tout d’un coup, votre vie devienne soleil. Nate, il a toujours vécu ainsi, sans s’encombrer de son passé, de ses erreurs et de ses désespoirs. Comme bon nombres d’entres nous il sait trompé, égaré en chemin mais toujours, toujours il a sut se relever. Lever la tête et bomber le torse, Nate avance avec fierté et ne sait jamais laissé enchainer. Alors son histoire, il ne la raconte plus, son histoire il la vit, il l’écrit mais, il y a des jours, des jours comme aujourd’hui où il voudrait bien saisir une gomme et effacer certaines périodes de son existence. Il aimerait oublier, redevenir amnésique et se débarrasser de son image. Nate… Son histoire est paré de fantôme, des fantômes avec lesquels il avait apprit à vivre, grâce à elle. Mais tout est différent maintenant et tout lui parait bien morne alors, vaut-il la peine de continuer la narration de ses aventures ? O je sens votre curiosité, votre désir de vous pencher sur cet être hors norme alors, s’il te plais Nathaniel, raconte nous ton histoire, oui, ton histoire et non une histoire, fait nous découvrir ce que tu es réellement, et ce qui fit que tu devins ainsi. Raconte Nathaniel, raconte… »

    Et le chant s’éleva enfin, profond, ce dernier surgit comme par miracle et, bientôt, fut accompagné par des mains se liant les unes aux autres et frappant fort un rythme aux assonances chaloupées, douces et sensuelles. Les paupières clauses, le vieil homme à la voix de ténor laissait filer sa voix, partageait la douleur de sa complainte et permettait à son âme d’hurler à travers ses vieilles lèvres séchées les douleurs d’une longue existence de pauvreté. Et, au fur et à mesure que le temps s’effilait, le cercle de musicien ne cessait de grandir et, bientôt, se fut tout une petite communauté de gens aux cœurs tourmentés venu se retrouver là, quelque part dans une ruelle sombre et oubliée de Buenos Aires.
    Ce soir là, le feu crépitait dans un tonneau de fortune et laissait jaillir sur les façades et le sol des ombres murmurantes qui, comme par enchantement, entamaient une longue danse langoureuse tout en venant lécher habilement le corps assit de ces hommes et de ces femmes venu trouver un peu de réconfort.
    Ce genre de rassemblement n’était pas rare, et, cela faisait bientôt longtemps qu’il ne c’était pas joint à eux. O ! Il les connaissait bien pourtant et c’est d’ailleurs grâce à eux qu’il apprit rapidement à maîtriser le dialecte des rues mais également tout l’art du vole, de la dissimulation et de la discrétion. Cette communauté de pauvres gens Nathaniel avait apprit à les aimer et, en partageant sa musique et ses chants avait su se faire aimer d’eux. Ils avaient été son refuge, des épaules réconfortantes sur lesquelles il c’était permit de pleurer. Car il en était ainsi ici, chaque être été invité à conter sa peine autour du feu, à donner mot à sa douleur afin de s’apaiser tout en dégustant un alcool aux arômes brûlantes ou une petite cigarette aux vertus euphorisantes.

    Cependant, ce temps lui paraissait à présent bien loin et, se fut le cœur chantant à un rythme infernale que le jeune homme rejoignit ce soir là, l’ombre des rues. Des mois avaient passés, des mois qui lui semblaient éternité tant sa vie avait prit un nouveau tournant. Il avait côtoyé le bonheur, frôlé le rêve, tombé dans l’oubli pour, finalement, devenir le fantôme de l’homme bon et chaleureux qu’il fut autrefois. Oh, bien entendu il tentait de sauver les apparences, de demeurer souriant et de garder cet air taquin que nous lui connaissions bien mais, tout cela n’avait plus la même saveur, Nathaniel n’y mettait plus de son cœur et chacun de ses gestes étaient portés par l’obligation de continuer à respirer. Vivre était devenu un supplice et, en venant ici, Nathaniel savait qu’il pourrait enfin se libérer de ce fardeau, laissé derrière lui ses mensonges et ouvrir son âme à ces gens qui, jamais ne l’avaient juger.

    Son ombre se maria aux autres et le silence se fit soudain. Laissant mourir son chant, le vieil homme rouvrit ses paupières fines, pareils à deux parchemins et braqua sur Nathaniel un regard acier à l’intensité d’un brasier. Ravalant sa salive, le jeune vagabond s’approcha lentement et hocha légèrement la tête alors que le vieillard s’attarder sur son être. Respectueux, Nate demeura immobile, laissant ce regard oppressant noter combien ces mois l’avait métamorphosé. Bien sûr, il gardait sa silhouette sportive néanmoins, son visage témoignait d’un amaigrissement manifeste tandis que son regard c’était peu à peu fait ciel ombragé, ce parant d’une morosité que le vent ne semblait apte à chasser. Nathaniel avait vieillit, frappé comme jamais par le sort de la vie, une fois cette déduction faite, le vielle homme accepta enfin qu’il se joigne à eux. Le remerciant d’un regard, Nathaniel s’installa auprès d’une jeune mère pleurant son fils mort né qui, dans un geste emplit de compassion, attrapa sa main qu’elle serra tendrement dans la sienne. Son voisin en fit de même et le vagabond ferma les yeux se laissant envahir par le murmure silencieux de ses âmes s’unissant dans une souffrance semblable afin de trouver la force et la sérénité nécessaire à continuer de vivre.


    « Je suis né il y a de cela 23 ans bien loin de vos voix et de vos sourires. Je suis né dans un monde emplit d’arrogance, un monde porté par l’illusion armé d’apparence et, dans lequel je n’ai jamais su trouver ma place. Ma mère, puisqu’il me faut en parler n’était qu’un monstre de bêtise, une femme hautaine dont le cœur d’acier avait pourtant fondu comme neige au soleil sous le regard de mon père si semblable au mien auparavant. Cet homme était son contraire, un utopiste, un rêveur qui pouvait faire naître rose là ou ne poussait que ronces et orties. Il était un magicien qui sut frapper l’âme de ma mère et leur amour fut si puissant qu’il me fit venir dans ce monde me définissant dès lors comme l’image même de leur réussite. L’histoire est singulière me direz-vous pour ne pas dire stéréotyper mais, comme toute histoire d’amour ou la passion s’en mêle, elle ne pouvait durer. Oh non, je ne désire point revenir sur ce couple, ni même sur ces premières années d’existence que je passais enfermé dans ma prison doré afin de répondre aux plans de réussites que ma mère avait battit dès les premières heures pour moi. Vous connaissez cette partie de mon histoire simplement, il vous faut retenir que, si je suis devenu cet imbécile rêveur c’est, avant tout, parce que j’ai prit exemple sur mon père. Ce dernier était un électron libre, un voyageur qui c’est laissé attrapé par les serres de ma mère et qui ne sut reprendre sa liberté quand ce donnant la mort. Une fin cruelle certes mais qui me permit de comprendre que je ne désirais pas finir ainsi, je ne pouvais concevoir, du haut de mes quinze ans, de finir comme cette femme arrogante aussi, est-ce pour cela que j’ai décidé de rejoindre la rue. A l’époque, je croyais que ce monde m’ouvrirait les yeux et m’apprendrait les réels valeurs de la vie, je croyais dur comme fer que je pourrais me suffire à moi-même et qu’offrir un peu de bonheur et de lumière autour de moi suffirait à me conforter dans ma propre recherche du bonheur. J’ai donc agit sous l’impulsion, n’écoutant que mon cœur et vivant sans réfléchir désireux d’aller là où je le voulais quand je le voulais. Je devenais alors un vagabond, une âme solitaire qui n’avait pas peur de passer des semaines et des mois à dormir comme un chien sous un pont et à se nourrir vulgairement de quelques restes que je trouvais dans les poubelles. Actes stupides je le conçois néanmoins, je vous assure que j’étais heureux et je le fus d’autant plus que cette période de ma vie me permit de rencontrer la musique. Devrais-je vraiment m’attarder sur ce vieille homme qui, durant un an, m’apprit les milles et une manière de survivre ? Je le crois oui, après tout, il est le fondement de mes premières croyances alors… Je vais me laisser revenir en arrière alors que je vivais encore à New-York… »

    Son regard se perd dans la vague suivant négligemment les ondulations des flammes se courbant sous la brise alors que ses doigts enserrent encore ceux de la femme assit à ses côtés.

    « Il s’appelait John, un nom commun pour désigner l’être exceptionnel qu’il fut. Agé de 65 ans cet homme me marqua tout d’abord par le charisme exceptionnel dont il faisait preuve. Car John était un orateur, un amoureux des mots qui parvenait à rendre le monde plus beau et pouvait faire croire à n’importe qui les théories les plus fumeuses et invraisemblables. Il était un manipulateur, un enjôleur qui, pour je ne sais quelle raison, me prit sous son aile alors qu’il me croisa un soir, errant dans un Central Park désert, désespérément à la recherche de quoi me nourrir. J’allais alors très mal, cela faisait un an que j’avais rejoint les rues et, si je n’avais point encore cédé à la tentation de retourner chez ma mère je sentais que mon corps se mourrait peu à peu des horreurs que je lui faisais subir. John me permit de me nourrir et me trouva un toit où dormir, il m’aida à reprendre vie peu à peu et à calmer mes angoisses nocturnes grâce au son merveilleux qui jaillissait de ses doigts lorsque ses derniers courraient librement de sa guitare, elle aussi, usée par l’existence. Avec lui, je reprenais goût à la vie et il me permit pour la première fois de parler de moi, véritablement de moi. Il fut sans doute l’une des rares personnes à qui j’acceptais de parler véritablement à cœur ouvert et, le seul à comprendre véritablement mon choix de partir vivre dans la rue. Il m’aima véritablement je crois et cet amour pareil à celui d’un père je le lui rendis au centuple. Il m’apprit à jouer de la guitare et je lui appris à laisser ses mots devenir chanson cependant, ma voix demeurait plus agréable, plus sombre, plus profonde et il se plaisait à dire que la vie elle-même vibrait en moi lorsque je chantais si bien que nous décidâmes de gagner notre pain grâce à nos dons misent en communion.
    Cela fonctionna fort bien, si bien que nous devînmes des habitués des métros et des quelques petits cafés/bars miteux des rues ravies de pouvoir attirer un minimum de monde grâce à je cite, ‘ces deux clowns au regard burlesque’. J’étais ravis, comme un coq en patte je me sentais puissant cependant, la réalité de l’existence revint bien vite me rappeler à la raison et je sus alors que, du roi de la rue que je croyais être je demeurais en réalité, qu’un simple asticot de plus grignotant une pomme déjà bien attaqué par la vermine. Et de là vermine il y en avait, de partout elle trainait leur haine et leur rancœur mécontent de voir un vulgaire gamin et un vieux débris barbu sans sortir aussi bien. Elle n’était que jalousie et colère si bien que, un jour, elle décida de passer à l’action et de mettre fin à se « règne » qui, selon elle, avait déjà bien trop duré.

    Si mes souvenirs ne me trompent pas il me semble que John et moi finissions tout juste notre journée de « travail » lorsque cela arriva. Oh, la vermine n’était pas nombreuse peut-être cependant, cela suffit à venir à bout de nos deux corps usés par une journée à chanter à travers métro, tram et parcs de New-York. En vérité, de cette fin de journée je ne me souviens que de peu de choses si ce n’est des cris et de cette lame de couteau se plantant sans merci dans le corps courbé de mon vieil ami. Et… Il y avait aussi ses bras qui m’enserraient, retenant d’une poigne de fer mais hurlement tout en forçant cruellement mon regard à se porter sur la silhouette de mon ami perdant peu à peu pied sous le flot de cette agressivité déchainée. Ils l’ont tué sous mes yeux me réduisant à l’impuissance avant de me rouer de coup, pas suffisamment fort cependant pour parvenir à essouffler ma vie. »

    Son regard se colore de pluie à l’évocation de ce souvenir et il s’arrête, reprenant son souffle et retenant l’explosion de son cœur encore une fois, il est à bout de souffle mais il se doit de continuer l’histoire, son histoire…

    « Je me suis souviens n’avoir reprit que quelques heures après. Le corps de mon vieil ami demeurait allongé non loin de moi et, si je ne parvenais plus à sentir mon corps tant ce dernier se trouvait tuméfié par la douleur je décelais néanmoins la force de me trainer à la cabine téléphonique la plus proche pour signifier son corps à la police. Je disparaissais ensuite emportant son souvenir avec moi, l’enfermant à double tour dans mon cœur tout en m’accrochant au fait que, quoi qu’il arriverait, John demeurerait vivant quelque part en mon âme. Ensuite… Je ne sais vraiment ce qui se déroula ensuite, je me souviens avoir mit des jours et des jours à m’en remettre. Cloitré entre les quatre murs de ce qui fut notre abris de fortune je profitais de nos dernières réserves de nourriture afin d’offrir la possibilité à mon corps de s’en remettre cependant, mon cœur et mon esprit restaient eux en lambeau et, j’avais beau m’accrocher à la vie je ne parvenais encore à trouver la force de remettre le nez dehors. J’avais peur, peur de la haine et de la souffrance que j’allais y trouver, peur de retomber sur ses voyous, peur de me perdre à nouveau et de sombrer dans les limbes de la folie. Je passais alors mon temps à chercher une solution, à remettre en question mes choix jusqu’au jour où, comme animée par une force qui leur étaient propre mes doigts emprisonnèrent en leur sain la guitare de mon défunt ami et se mirent à jouer une chanson que nous avions écrite ensemble. Aujourd’hui, je ne serais vous en chanter les paroles, je sais simplement qu’elle parlait de force et d’espoir, d’illusion et de rêve partagé autour d’un bon verre de whisky. Cette comptine était notre balade, l’histoire de nos deux âmes liés par la galère et ce fut cette musique qui m’influa la force nécessaire à continuer à croire en moi, à croire en lui.

    Quelques jours plus tard je finissais de boucler mes valises. Je me sentais appelé par l’horizon, par l’inconnu et je désirais par-dessus tout fuir ce New-York qui n’avait à présent plus rien à m’apporter. J’étais alors décidé à rejoindre l’Europe et, se fut tel un clandestin miteux que je rejoignis la France non s’en risquer et ce, à plusieurs reprises, à me faire prendre par les douanes. Néanmoins, j’eus la chance de rencontrer quelques personnes s’éprenant suffisamment de mon sourire pour m’aider à fuir. Je m’inventais alors une nouvelle histoire et de Nathaniel me fit nommer John en mémoire à mon ami qui, je l’avais décidé, demeurerait le seul être auquel j’aurais accepté de me lier. Je ne voulais plus souffrir, je ne voulais plus m’endeuiller de quiconque et je compris alors que vivre seul serait la meilleur des manières pour fuir la crainte de perdre un jour un être aimé. Au début, cela me coûta, j’avais tant d’amour à donner ! J’en avais tant besoin également… Et je me surpris à ressentir la nostalgie de mon foyer, des nuits chaudes passées caché sous mes couettes à dévorer un ces livres que ma mère ne voulait pas me donner. Une clandestinité plus seine, un danger plus serein que celui que je vivais actuellement cependant, il me fallait tenir, la France m’ouvrait ses bras et je quittais la misère Newyorkaise pour en trouver une autre qui, curieusement, demeurait attractive, attirante et plaisante m’insufflant le courage de continuer mon chemin et ce, peu importe où il finirait par me mener.

    Encore une fois, je ne désire m’attarder sur ma vie en France. Mon histoire je vous l’offre en morceau ne m’arrêtant que sur les moments qui me paraissent essentiels et la France ne fut pour moi qu’une étape de transition où je vécue pendant deux ans dans un petit appartement miteux loué au noir . Deux années de galères que je passais à écumer les bars, à jouer de ma guitare tout en voguant de boulots merdiques en travails peu glorifiant avec une seule idée en tête : économiser pour pouvoir partir à nouveau. Je ne trouvais ma place nulle part et, à l’époque, il ne se passait pas une seconde sans que le fantôme de mon vieil ami ne survienne dans mes rêves mettant mes nerfs à rudes épreuves tout en poussant à croire que la France n’était pas fait pour moi.

    18 ans… La majorité synonyme de facilité lorsque l’on vit dans la rue. Possédant toujours mes papiers Newyorkais je pouvais à présent me permettre de ne plus me cacher, en Europe, j’étais majeur et je pouvais donc aisément justifier ma présence sans craindre que l’on cherche à savoir où se trouvait mes parents, légalement j’avais ma place et cet âge au combien attendu me donnant l’opportunité de quitter enfin ce pays. Une fois encore, je fis mes bagage ne prenant avec moi que le strict nécessaire et, m’armant de ma guitare je repris la route. N’ayant pas le permis et encore moins l’argent nécessaire pour le payer j’optais une fois encore pour la marche à pieds et le pouce en l’air.
    Mon voyage dura en tout une semaine, une semaine à marcher sous vent et pluie avant de parvenir à rejoindre Barcelone. La catalogne, la ville maudite qui ne s’estimait pas espagnol et clamait son indépendance et son identité qu’elle lui désirait propre. Ce n’était pas la ville de mes rêves néanmoins, je décidais de m’y établir quelques temps ne serait-ce que pour m’accoutumer à la langue. Là-bas, je fis la rencontre de la première femme qui me ferait tourner la tête. Elle se nommait Esperanza, un nom qui me fit doucement sourire lorsque j’appris son histoire. Elle était une réfugiée, une oubliée de la civilisation qui survivait grâce à la magie de sa voix et la superbe de son corps. Une fille de joie pour ne pas user d’un terme moins élogieux qui, elle aussi, c’était promit de ne jamais avoir d’attache.
    Elle me trouva un soir alors que j’errais dans une ruelle sans vie, la guitare sur le dos je cherchais désespérément un endroit où m’abriter du froid ainsi que quelque chose à me mettre sous la dent. Cela ne faisait que trois jours que je me trouvais ici et, si j’avais réussi à retenir quelques mots espagnols ma langue, hésitante entre américain, français et espagnol la fit tant sourire et rire qu’elle décida de m’apporter son aide. Esperanza habitait un petit logis minable mais suffisamment confortable pour qu’elle ai décidé d’y vivre et c’est avec cette générosité propre aux latins qu’elle m’offrit un café chaud ainsi qu’un maigre repas qu’elle partagea avec moi. De cette nuit, je retiens avant tout la profondeur de ses yeux noirs et la délicatesse de ses doigts courant sur mon torse lorsqu’elle m’offrit son corps. Elle avait besoin de ça, me dit-elle plus où moins aussi, la gardais-je prisonnière de mes bras le jour suivant me nourrissant de sa chaleur et de sa tendresse, m’accrochant à sa douceur qui m’apporta une force étrangère me faisant sourire comme je n’avais plus souris depuis longtemps.



    what you look like ϟ



UN ANIMAL ϟ Le phénix.
UN OBJET ϟ Une plume.
UNE SAISON ϟ Le printemps.
UN PLAT ϟ
UN LIVRE ϟ réponds ici à la question.
UNE H. DE LA JOURNÉE ϟEntre nuit et jour...

UN PAYS ϟ L'Espagne
UN PARFUM ϟ L'homme, Yves St Laurent
UN ÉLÉMENT ϟ Le feu.
UNE FLEUR ϟ Le jasmin.
UNE CHANSON ϟ Again de Archive
UN SENTIMENT ϟ La neutralité

    FILMS OU DESSINS ANIMÉES ? Films
    LÈVE TÔT OU GRASSE MAT' ? Lève tôt.
    FILLES OU GARÇONS ? Filles
    LIVRES OU BD ? Livres
    ROCK OU CLASSIQUE ? Rock
    TV OU ORDINATEUR ? Ordinateur
    MONTAGNE OU MER ? Mer
    VENISE OU LOS ANGELES? Venise


    and, what about you ϟ


    PSEUDO/PRÉNOM ϟ L.G ou Camille pour les intimes.
    AGE ϟ 19 ans, dur, dur de vieillir.
    PRÉSENCE ϟ 3/7 Etant à la fac je passerais moins de temps sur le forum et je m'en excuse.
    TON GROUPE ϟ écrire ici.
    TON PERSO C'EST ϟ Nathaniel ne peut être que le fruit de mon imagination.
    COMMENT AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ϟ Euh, je ne sais plus.
    QU'EN PENSES TU ϟ Il me donne envie d'aller au toilette What a Face
    CRÉDITS ϟ ici c'est FREAKANGEL pour la ban & Tender HEART pour l’icône.
    CODE DU RÈGLEMENT ϟ Daaaa je dois vraiment retourner le chercher ? (mémoire de poisson rouge bonjour)
    JE SUIS PAS TROP CHIANTE CA VA? ϟ Pire que chiante, insupportablement chiante !
    EXEMPLE DE RP ϟ
    Spoiler:

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Levannà A.T. Milkova-Levy
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→ BOULOT : Fait études de photographie et travaille chez un photographe en développement de pellicules.
→ J'AIME : Etre tranquille chez moi à écouter de la musique; sentir le parfum des fleurs; photographier les petites choses de la vie; écrire sur mon corps; me promener tôt le matin; regarder le bleu du ciel et fumer une cigarette.
→ J'AIME PAS : La joie de vivre; manger; qu'on me parle, la mer.



MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 6:13

WESHHHHH super calin wayaa
Souriez, c'est le retour du BG *O*

J'ai hâte de lire ta nouvelle présentation et de voir comment Natou va s'en tirer sans Nev Le retour du guerrier. 755547
Bonne chance ♥️
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Nathaniel Crawn
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 6:22

Bon sang j'ai bien cru que personne n'allait venir me dire un petit re-bonjour x)
Merci poulette bon, je ne promets pas de finir ma fiche vitesse grand V mais je vais faire mon possible en tout cas. =)
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→ SITUATION : Célibataire
→ PAPIERS : 3503
→ BOULOT : Fait études de photographie et travaille chez un photographe en développement de pellicules.
→ J'AIME : Etre tranquille chez moi à écouter de la musique; sentir le parfum des fleurs; photographier les petites choses de la vie; écrire sur mon corps; me promener tôt le matin; regarder le bleu du ciel et fumer une cigarette.
→ J'AIME PAS : La joie de vivre; manger; qu'on me parle, la mer.



MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 6:25

Quand même ! ça serait ahurissant affraid
En tout cas, y'a pas de soucis pour la vitesse de ta fiche, j'ai rien a dire parce que la mienne n'est pas terminée non plus Arrow
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Nathaniel Crawn
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 6:31

C'était bien partie pour en tout cas xD.
Bon va ça va alors, et puis je préfère prendre mon temps pour faire une fichette digne de ce nom héhé.
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Enora C. Quispe
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→ NOMS COMPLETS : Enora, Cheyenne Quispe.
→ SITUATION : Profite de la vie, célibataire.
→ PAPIERS : 380
→ BOULOT : Serveuse dans un bar. Restaure la Sybille dès qu'elle en a le temps.
→ J'AIME : Les hommes, la fête, son bateau, la mer, son grand père ♥ Le parachute, l'armée, la vie, la peinture, les voyages. TOUT.
→ J'AIME PAS : Nada. Faut prendre la vie côté coca-cola.



MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 6:38

Purée, j'avais pas vu affraid
Re-bienvenu à la maison !!! 8D

Le début de ta fiche est Le retour du guerrier. 829619 et la musique Le retour du guerrier. 755547

EDIT : Je perds mes mots, d'ou les smileys Le retour du guerrier. 1881463262
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Nathaniel Crawn
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 7:03

Vrai ? Le début te plais ? Beurdel j'avais juste trop l'impression d'avoir écrit de la grosse crotte mais osef, tant mieux alors ♥ et merci poulette !
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 8:38

Nathaniel Crawn a écrit:
Nathaniel nourrit les cœurs d’espoirs et en sauva un de la noyade, un cœur qui vint hélas à perdre et qui, bien qu’il ne l’avouera jamais, je le sais, entraîna la fêlure de son âme.


Ca me fend le coeur c'te petite phrase sniff sniff sniff sniff sniff

*oui bon ça va je sors ><*
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Nathaniel Crawn
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 8:46

What a Face
Tu me poursuis encore O sauvage !
il faut que tu me redises sur quel autre forum tu es
Sinon euh, il faut que tu m'aides aussi à trouver une raison du non fonctionnement du coup Nate/Neva x)
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 8:51

Pas de ma faute si je t'aime et que j'ai du mal avec les séparations Le retour du guerrier. 674349

ha vrai... Parce que je ne veux pas que Nevaeh soit la méchante What a Face
j'te choppe sur MSN dès que je peux pour l'autre fow et prévoir tout ça Wink

(même si j'avoue que j'ai du mal à faire partir ma Neva xD Et laisser un Nathou tout triste à l'intérieur Le retour du guerrier. 674349 )
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Enora C. Quispe
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 9:17

Vrai de vrai. Sincèrement, c'est loin d'être une grosse crotte comme tu dis, c'est génial. Je pourrais lire la suite quand ? Le retour du guerrier. 755547
Et de rien !!! :)
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Nathaniel Crawn
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 9:27

T'es un chou d'amour. ♥️
Et tu pourras lire la suite bientôt ne t'en fais Very Happy
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Vanille-Cheerbone Caspian
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→ NOMS COMPLETS : Santana Vanille-Cheerbone Kalliste-Rose Caspian
→ SITUATION : en couple et très heureuse.
→ PAPIERS : 4509
→ BOULOT : étudiante. mais ne va pas tarder à réaliser son rêve.
→ J'AIME : Liam. Liam. Liam. La musique, l'écriture, l'Angleterre et l'Italie
→ J'AIME PAS : Les grogniasses, les machos, ta soeur peut-être et puis le pape allez.



MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 10:11

fegkjrg ooio i! "Le retour du guerrier" ou le retour de la déesse de l'écriture qui fait des fiches qui me laissent trop émue et qui fait toujours de belles phrases poétiques sans le vouloir Le retour du guerrier. 755547
bonne chance pour cette nouvelle fiche même si j'étais carrément tombée amoureuse de la première. Le retour du guerrier. 755547

et puis euh.. tu connais la maison de toute façon wayaa Le retour du guerrier. 829619
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Nathaniel Crawn
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 10:15

Le retour du guerrier. 755547 Le retour du guerrier. 755547
Comme tes gentille ♥️. Et j'espère que tu tomberas aussi amoureuse de la seconde alors. ♥️♥️
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Vanille-Cheerbone Caspian
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→ NOMS COMPLETS : Santana Vanille-Cheerbone Kalliste-Rose Caspian
→ SITUATION : en couple et très heureuse.
→ PAPIERS : 4509
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 10:25

T'inquiètes pas, c'est obligatoire de tomber amoureuse là What a Face Le retour du guerrier. 755547 Le retour du guerrier. 755547
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Charlie E. Reckless
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→ NOMS COMPLETS : Charlie, Elwynn Reckless
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→ J'AIME : Ma famille, le piano, le chant ...
→ J'AIME PAS : La vie, l'injustice, le terrorisme, ...



MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 11:21

Wooauh.. Ca pour une nouvelle c'est une nouvelle. Genre bombe atomique quoi ! Le retour du guerrier. 524573
Contente que tu restes avec Nate Le retour du guerrier. 755547 Le début de ta fiche est génial !!! Le retour du guerrier. 755547
Bon courage pour la suite de ta fiche canard
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Everlynn C. Marquez
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 21:39

    Nathyyyyyy Le retour du guerrier. 13320 Le retour du guerrier. 13320 Bon courage pour cette nouvelle fiche. Même si je sais qu'elle va gérer, comme toujours. (a)
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Nathaniel Crawn
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyVen 23 Sep - 21:45

youpii
Vous êtes desamours merci ! génial
Et oui je vais essayer de faire mon come back en espérant y parvenir Very Happy.
J'vous aime les chicas. please
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptySam 24 Sep - 0:01

T'es moche, j't'aime pas, et tu m'énerves, alors j'te pas re-bienvenue voilà Le retour du guerrier. 1220284797

*se jette sous un train*

amour Le retour du guerrier. 957334 Le retour du guerrier. 755547 wayaa Le retour du guerrier. 215661 Le retour du guerrier. 384812 meugnon Le retour du guerrier. 727168 What a Face

Et bon courage pour ta nouvelle fiche !
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Nathaniel Crawn
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptySam 24 Sep - 0:12

Le retour du guerrier. 310149
Tu pues gonze mais c'pas grave j'taime bien quand même enfin, tant que tu te tiens loin de moi cela va de soit. Le retour du guerrier. 1220284797
Le retour du guerrier. 384812 Le retour du guerrier. 384812
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Fiona S. Sanchez
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptySam 24 Sep - 15:42

OOO bon courage Very Happy j'ai bien hâte de lire le tout moi ! Hump
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Levannà A.T. Milkova-Levy
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptySam 24 Sep - 21:18

C'est bon, mon antivirus n'a plus de problème et je peux avoir accès à la fiche du pornoboy wayaa
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyDim 25 Sep - 3:11

Je ne suis pas un pornoboy oh ! Le retour du guerrier. 310149
Sinan merci Fiona What a Face
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Levannà A.T. Milkova-Levy
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyDim 25 Sep - 3:47

Excuse moi, à la fiche du plus grand maitre de la beauté et de l'écriture pitié
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MessageSujet: Re: Le retour du guerrier.   Le retour du guerrier. EmptyDim 25 Sep - 4:27

De ma beauté certes Cool, de l'écriture beaucoup moins. What a Face *sors*
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